Je suis perdu

[Tony60]

Que veux tu dire par "risque de rechute fantasmé pour elle et pour moi"?

[Tony60]

Et bien voila, besoin d'ecrire ce soir, je suis seul dans le noir, tout le monde dors, moi je médite sur mon canapé.

J'ai passé une " bonne " journee pourtant, j'etais occupé a demenager des choses entre chez moi et mes parent, c'etait sympa de changer d'air.

Comme chaque soir avant de me coucher, je suis allé prendre ma douce, et voila que mon cerveau se joue de moi, et le sommeil m'abandonne...

J'ai essayé de me calmer, en general quelques verre m'aide, mais pas ce soir, rien n'y fait.
Je sent encore mon coeur qui s'emballe, je le sent jusque dans mes tampes, ca m'enerve.

Une si belle journee gaché par ce sentiment de vide en moi, que faire, je ne vois aucune solution.
Je suis fatigué de tout ca, je veux juste dormir, oublier.
Les verres s'enchainent, vite, j'ai besoin d'etre bien. Jusqu'ici je ne buvais que 2 ou 3 fois par an, mais dernierement je bois trop, je le sais, mais je me sent mieux apres, ca fait du mal mais ca soulage aussi, triste realité.

Je suis a la campagne ici, pas moyen d'aller faire un tour, il n'y a personne, mais j'ai envi de prendre l'air, j'etoufe chez moi.

Je ne sais pas pourquoi mais j'ai pleins de souvenir qui tourne dans ma tete, de super moment passé en compagnie d'une personne qui m'etait tres cher, un mec pour qui j'aurais pu faire n'importe quoi tellement il etait important pour moi, un mec qui a brisé ma vie...
J'ai envi de l'appeler, de me confier a lui, de lui dire que j'ai besoin de lui car je me sent tres mal, mais non, cette personne n'existe plus, et dire que c'est le parrain de ma fille. Il m'avait promis de prendre soin de ma fille, mais apparament il preferait prendre ma femme.

Le monde ne tourne pas rond, ou alors c'est moi...
Je regrette d'avoir ouvert mon coeur tout ce temps, n'y a t il que les salo qui ne se font jamais avoir?

Voila, encore une fois les larmes coulent,et je ne peux les arreter. Je veux juste etre bien, laissez moi m'évader.

[so78]

Je comprends Tony ton besoin d'évasion de cet enfer. Mais rassure toi, ça sera moins douloureux un jour.
Les psychiatres annoncent en moyenne 2 ans pour s'en remettre, j'ai presque fait la moitié, et je vais déjà mieux. Pourtant monsieur était loin d'avoir le courage et l'honnêteté de ta femme!
J'ai repris un peu de poids, je ne ressens plus le besoin de boire jusqu'à me saouler, je ne me suis pas blessée volontairement depuis quelques temps. Je ris, je retrouve le plaisir d'être avec les gens que j'aime, avec lui aussi, même si ce n'est pas tous les jours facile. Et puis seul le soir en week-end, c'est la pire des configurations, il y a encore un mois, cela m'aurait plongée aux 36ème dessous.
SP m'a promis un jour que le bout du tunnel existait, il avait raison. Les choses ne sont plus les mêmes, mais la vie reprend son cours normal.
Je t'embrasse, bon courage, bises
PS: tu es dans un gros bad là, demain est un autre jour.

[K.O.tique]

Et bien voila, besoin d'ecrire ce soir, je suis seul dans le noir, tout le monde dors, moi je médite sur mon canapé.

J'ai passé une " bonne " journee pourtant, j'etais occupé a demenager des choses entre chez moi et mes parent, c'etait sympa de changer d'air.

Comme chaque soir avant de me coucher, je suis allé prendre ma douce, et voila que mon cerveau se joue de moi, et le sommeil m'abandonne...

J'ai essayé de me calmer, en general quelques verre m'aide, mais pas ce soir, rien n'y fait.
Je sent encore mon coeur qui s'emballe, je le sent jusque dans mes tampes, ca m'enerve.

Une si belle journee gaché par ce sentiment de vide en moi, que faire, je ne vois aucune solution.
Je suis fatigué de tout ca, je veux juste dormir, oublier.
Les verres s'enchainent, vite, j'ai besoin d'etre bien. Jusqu'ici je ne buvais que 2 ou 3 fois par an, mais dernierement je bois trop, je le sais, mais je me sent mieux apres, ca fait du mal mais ca soulage aussi, triste realité.

Je suis a la campagne ici, pas moyen d'aller faire un tour, il n'y a personne, mais j'ai envi de prendre l'air, j'etoufe chez moi.

Je ne sais pas pourquoi mais j'ai pleins de souvenir qui tourne dans ma tete, de super moment passé en compagnie d'une personne qui m'etait tres cher, un mec pour qui j'aurais pu faire n'importe quoi tellement il etait important pour moi, un mec qui a brisé ma vie...
J'ai envi de l'appeler, de me confier a lui, de lui dire que j'ai besoin de lui car je me sent tres mal, mais non, cette personne n'existe plus, et dire que c'est le parrain de ma fille. Il m'avait promis de prendre soin de ma fille, mais apparament il preferait prendre ma femme.

Le monde ne tourne pas rond, ou alors c'est moi...
Je regrette d'avoir ouvert mon coeur tout ce temps, n'y a t il que les salo qui ne se font jamais avoir?

Voila, encore une fois les larmes coulent,et je ne peux les arreter. Je veux juste etre bien, laissez moi m'évader.

Non tu n´es pas seul dans le noir.
Moi aussi j´ai voulu oublier et juste dormir. Le seul problème est que celà ne fonctionne pas.
Tu picoles? Moi aussi je l´ai fait. En quelques heures une bouteille de Wodka était devenue ma meilleure amie, ceci pendant 6-7 mois.
J´ai laissé pousser mes cheveux et ressemblait peu à peu à une de ses épaves clichées de vétéran du Viet-Nam.
Un jour je me suis regardé dans la glace, je voulais me raser mais m,,a main tremblait, peur de me couper...
peur de la vie...
"illumination"...pardon? Peur de la vie mais pourquoi?
Je suis une entitée unique sur cette planète, de même que tous nos amis du forum, de même que toi.
Je suis le maitre de ma déstinée et aussi le capitaine de mon âme et toi aussi Tony.
Je me suis délivré en abandonnant les habitudes serviles mainstream.
Marre de vos conneries! Marre de tout!
Et je suis parti...et je me sens bien!
Je ne voulais revenir sur ce forum que plus tard, mais c´est un peu comme une drogue...back to the roots.

Celà me fait aussi penser que je dois des nouvelles à une personne magnifique sur ce site...
ich gelobe besserung! ;-)

[Sans Prétention]

Un jour, encore un, où je n'arrivais pas à sortir de chez moi pour aller travailler, encore un jour sec et aride, les palpitations ont repris de plus belle.
J'avais même pris mon chronomètre pour mesurer le temps pendant lequel mon coeur pouvait me foutre la paix... 34 secondes. Pas plus. 2 heures de sommeil au compteur. Pas plus.

Et puis j'ai lu, vu, pour comprendre: le souvenir traumatique reste "coincé" là où il ne devrait pas être. Il colonise le cerveau et ne s'évacue pas dans la zone de ce qu'on appelle "le souvenir". Danger. Il y a donc danger dans la partie archaïque de l'endroit où naît notre pensée... Cependant, inutile de se faire soigner pour ça: le danger était bien présent puisque madame continuait à me mentir.

La décharge d'adrénaline est alors trop forte, trop... C'était un peu comme ressentir cet emballement cardiaque, cette terreur, juste avant le crash d'un avion. Sauf que là, l'avion n'en finissait plus de se crasher.

Inlassablement, de manière compulsive, maladive, mon esprit voyait le sol se rapprocher à grande vitesse. Et puis... 34 secondes de répit, flottant à deux millimètres du sol, en attendant l'explosion. Machine arrière. Et on recommence. Les ailes en feu.

Pas une journée sans ces putains de pulsations qui explosent le palpitant et paralysent les mouvements ! D'après les scientifiques, ai-je cru comprendre, mon centre de commande envoyait des informations à mon corps pour l'attaque ou la fuite. L'attaque ? Lever la main sur ma femme ? Sur l'autre bouse ? Inacceptable dans le premier cas. Improbable dans le second. La fuite ? Comment ? Et laisser le champ libre à cet enfoiré ?
Et merde... L'attaque: je me frappe, me cogne la tête contre les murs. Parfois ça arrive devant elle. Elle croit que je joue la comédie. Je ressens son mépris, son regard condescendant. Elle va jusqu'à me dire: "tu peux partir si tu veux... Je te reséduirai !" Sourire.

Histoire familiale difficile, fils de cocue courageuse, enfoncé par ma belle-mère, traité comme une sous-merde par ma femme à qui il fallait tout excuser... Parce qu'elle était... "amoureuse" ! Amoureuse parce que j'avais gardé deux petites perles malades pour que madame puisse s'évader en Italie pendant quinze jours. "J'avais envie de vivre ça". Là-bas, OK passons, mais ici, deux enfants t'attendent et ton mari est au plus mal. "Tu ne vois pas les efforts que j'ai fait on a cassé plein de fois et je ne l'ai pas embrassé tous les jours..."

Un jour où je n'ai pas pu aller travailler, encore, un jour où mon corps se terrait dans une grotte imaginaire, usé par des palpitations cardiaques qui commençaient à rendre douloureuse jusqu'à ma respiration, le mouvement, la vie en elle-même, les larmes ont inondé mon visage inexpressif. Elles sortaient en flots ininterrompus. Lacérant mes joues comme de l'acide sulfurique. Et je m'étranglais avec ma morve amalgamée de verre pilé... Ça m'a fait crier, dans un ultime sursaut vital. Et j'ai hurlé comme une bête agonisante que j'étais devenu, troué de toutes parts de lances empoisonnées dont je ne parvenais pas à me débarrasser.

A un moment, le monde s'est arrêté autour. J'étais enveloppé de cris et de sanglots que je ne contrôlais plus. Et pendant ce temps, sans doute, madame faisait les yeux doux à monsieur perfection, sans doute la culotte humide en attendant midi, heure à laquelle mes SMS ne recevaient que de rares réponses hypocrites. Ou aucune réponse.

A un moment, le jour où plus rien n'a existé, j'étais par terre, me roulant dans une douleur phénoménale, avec un coeur qui lutte pour sortir d'une cage thoracique devenue trop petite pour contenir la souffrance de la fin d'un univers, et des oreilles agressées par ma propre voix qui, au lieu de me servir à chanter, était devenue un instrument de torture. J'avais l'impression d'avoir du sang dans les cordes vocales tellement je les avais explosées.

A un moment, le jour où plus rien n'a failli exister, j'ai pris un couteau. Le plus grand qu'il y avait dans la cuisine. Je me le suis collé à mon poignet. Pour arrêter de n'être bien que 34 secondes par heure. Pour fermer la gueule à cette créature qui me hurlait dans les oreilles à m'en briser les tympans. Pour faite disparaître un abruti de cocu de la surface de la terre. Pour avoir le "courage" de faire ce que ma mère n'a pas fait pour faire comprendre à son bourreau qui lui avait niqué le peu d'estime qu'elle avait d'elle-même que, non, elle ne plaisantait pas.
Autre prose sublime: "moi je trouve ça con les mecs qui se suicident pour les nanas." Même pas le droit d'avoir mal sans être méprisé.

Et puis l'image de mes enfants est parvenue à se frayer un chemin dans le chaos. Je ne sais pas comment. J'aimerais te dire Tony, que je me suis apaisé... J'aimerais te dire qu'à ce moment là je me suis senti mieux.
Je ne me suis pas apaisé, pas senti mieux. Mais j'ai hurlé une dernière fois, une ultime fois, j'ai déposé le couteau, et je me suis mis à pleurer tout ce que je n'avais jamais pleuré depuis mon enfance... J'ai eu mes 34 secondes. Et pendant ces 34 secondes, mes larmes ont été délicieuses... Et j'ai décidé de me battre. Contre moi-même, contre ma culpabilité, et contre sa mentalité de merde. Je voulais qu'elle comprenne avant de mourir. Parce que, si elle avait compris, vraiment compris, je n'aurais pas eu besoin de me venger: elle aurait eu mal d'elle-même.

Le soir, madame est rentrée, souriante, insouciante. "T'as passé une bonne journée ?" Elle sentait l'amour. Et la confiscation. Elle se privait de nous. Se privait de protection contre une nouvelle maternité en oubliant souvent sa pilule, s'exposait à la maladie en ayant des rapports sans latex. Tendait presque systématiquement la joue pour me dire bonjour, comme à un vieux copain, me privant d'amour. Pas tout à fait. Nous "faisions" l'amour comme jamais auparavant. Intensité rare. Mais... Nous étions peut-être trois dans ce lit king size en face duquel nous voyons notre reflet. Je ne sais si elle fantasme encore de ses mains ou de son corps en se mirant avec moi... Les ébats étaient, un temps, devenus combats.
Et puis rechute. "Ne me fais pas regretter de continuer !" menaçait-t-elle avec un aplomb impressionnant, le coeur et le corps encore pris ailleurs.

Aujourd'hui, la colère a fait place au désespoir (la prochaine étape sera sans doute le pardon. Le pardon à moi-même d'abord. Pour ne pas avoir pu empêcher ça...)

Je reprends les rennes de ma vie, pas de la manière dont je l'attendais, mais je le fais. Et la douleur s'est transformée en moteur.
Je pense être guéri de ma dépendance affective: bien sûr je l'aime; mais je n'ai plus peur de la perdre. Plus peur. Et mes perspectives, je ne l'aurais pas cru l'an dernier, sont bien ouvertes. Et, comme le disait Zoch, mon horizon est dégagé.

Me reste à prendre une décision, une vraie. Pas une décision de survie, une décision d'amour.

Alors, comme on dit chez nous, "n'a un jour i apèl domin".

Heu... Phonétiquement, on arrive à comprendre je crois ?

[Tony60]

Vos messages sont fort, pleins d'espoir, j'aimerais tant y croire...
Pour le moment tout est flou, j'essai de prendre mon souffle,

SP, je me sent con quand je lis ce que tu a vécu et vie encore.
La tromperie est une chose, mais les phrases que tu as reçu sont horrible a lire, je n'ose imaginer les entendre.

Je suis désolé pour toi, vraiment, et j'ai beaucoup de respect pour ta prise en main, car je n'aurais pas supporté ce que tu as subi, je n'aurais pas posé le couteau...tu as fais le bon choix.

Moi j'ai passé cette soiree a boire, en tete a tete avec mon coupe choux, l'idee d'etre assez saoul pour l'utiliser me donnait de la force... J'ai honte de moi pour ca.

Une photo de ma fille me faisait face sur le bar , comment pourrais-je lui faire ca, que pensera t elle plus tard? Un pere qui ne l'aime pas assez pour se battre?

Pourtant je l'aime, plus que tour meme, mais c'est a moi que je pense, je deviens egoiste.

Vous avez tous subi des choses horrible, vous etes passé par des moments bien plus difficile que moi, et j'ose encore me plaindre a vous, j'ai honte aussi pour ca.

Vous etes des gens bien, vous méritez d'etre heureux et respecté, tous autant que vous etes, j'espere vraiment que vous sortirez de cette spirale infernale.
Aider les autres en etant vous meme dans cette galere, a ramer pour respirer, quel bel exemple de générosité.

Je vais essayer de dormir un peu, en esperant que demain ca ira mieux... Jusqu'au prochain coup de mou.

Merci a vous

[Sans Prétention]

SP, je me sent con quand je lis ce que tu a vécu et vie encore.
La tromperie est une chose, mais les phrases que tu as reçu sont horrible a lire, je n'ose imaginer les entendre.

Je suis désolé pour toi, vraiment, et j'ai beaucoup de respect pour ta prise en main, car je n'aurais pas supporté ce que tu as subi, je n'aurais pas posé le couteau...tu as fais le bon choix.

Je pense avoir fait le bon choix oui. Cependant, je ne participe pas à un concours de souffrance (entre nous, limite j'aurais préféré être dans les cas "légers", ceux traitables par les magazines féminins où les recettes de réparation des couples côtoient celles des mousses au chocolat avec une bonne poire).

C'est bien la même souffrance qui nous frappe de toutes manières au début. L'épuisement nerveux, en revanche, n'est pas le même en fonction de l'individu qui nous sert de compagnon de marche et de bourreau à la fois. Pas le même non plus en fonction de notre passif familial.

http://www.soscocu.org/viewtopic.php?f= ... =45#p57634

Que veux tu dire par "risque de rechute fantasmé pour elle et pour moi"?

Je veux dire qu'à partir de maintenant, il est possible de vivre ça : http://www.soscocu.org/viewtopic.php?f=21&t=3700#p57688

[lyloue]

Bonjour,dur cette histoire mais si elle te l'a avoué c'est super car moi j'ai un mari qui fait des rencontres et me dit qu'il est fidèle le mensonge est pire que tout.
Mon conseil fonce pour une thérapie de couple très importante qui va vous aider à vous sentir mieux,moi je suis seule au monde avec les secrets de mon mari qui ne veut tout juste me toucher et qui me voit uniquement comme la mère de notre enfant alors que je l'aime.J'ai l'impression d'être sur un siège éjectable et j'ai du mal à le reconquérir.....
ALORS si elle a reconnu ses torts et que tu l'aime tjs fonce "la vie n'est pas un long fleuve tranquille" et votre cas à toutes ses chances.....courage

[Zoch]

Tony, ne t'excuse pas de nous parler. Ici, on est tous main dans la main. Parce que pour ne pas être aspiré par ce trou créé par nos cocufieurs, on doit rester amarré à l'humanité. Et ta peine est double, privé que tu es de ton meilleur ami. ....
moi aussi j'ai connu ces moments de douleur intense, roulée en boule dans un coin du salon à gemir comme une bête qui hurle à la mort. Et devant un connard qui me disait que je manquais de dignité. Qu'il n'y avait pas mort d'homme non plus..... " j'ai tué personne. Faut relativiser. Quand l'un de nous deux aura un cancer,tu trouveras ça dérisoire. "....
Pas essayer de me faire du mal.... mais je me suis fait une peur bleue. ... une fois, j'ai du obligatoirement descendre la nuit. Car en écoutant sa respiration pendant son sommeil, je me suis dit: " un coussin sue sa tête quelques secondes et je n'aurai plus mal "...
Waouh. ... c pas ma nature ça. ...

Reviens à chaque fois que nécessaire. Ici, c'est comme au CNR: de chacun selon ses moyens, à chacun selon ses besoins . Solidarité. Vitale.

[Tony60]

Bonjour a vous, c'est une nouvelle journee aujourd'hui, je ne la sent pas trop, m'enfin c'est comme ca.
Je vais etre occupé cet apres midi, c'est l'anniversaire de la soeur de ma femme, donc apres midi en famille chez elle...j'ai pas envie mais bon, je n'etais deja engagé a y aller.

Pour tout vous dire, il y aura ma femme, sa mere et sa soeur...super, toutes les personnes qui etaient au courant que ma femme avait des amants bien avant moi, une belle bande d'hypocrite, qui me disaient qu'on faisait un bon couple et qu'elle avait de la chance de m'avoir, alors qu'elles savaient que ma femme se faisait baiser par mon ami... Et oui, ma femme s'etait confié a sa mere, et sa mere l'avait raconté a sa soeur... Sympa non!

Bref, j'y vais car j'ai pas le choix, et que ma fille veux voir sa grand mere, mais je sais que la journee sera longue et penible.
Je vous ecrirait surement si j'arrive a etre seul quelques temps.

Je vous souhaite une bonne journee en tout cas, si comme chez moi vous avec beau temps, profitez en a font, ca fait du bien.
Bisous a vous

[so78]

Bon courage Tony pour cette journée, je sais que c'est dur de savoir les autres au courant, surtout avant toi, mais c'est possible qu'elles ne savaient tout simplement pas comment réagir et qu'elles ont décidé de ne pas s'en mêler...
Tu as raison, le soleil fait du bien!
Courage, bises

[K.O.tique]

Salut Tony,
je ne sais pas si tu parles bien l´anglais, mais en parlant avec Richard il y´a peu de temps. Je me suis dit que celà pourrait peut-être te faire du bien.
Ecoute simplement le texte...
Des potes à moi...

[Tony60]

Bonsoir a vous, pas eu le temps d'ecrire aujourd'hui, je me suis occupé a faire un peu de mecanique sur la voiture de ma belle soeur, c'etait cool du coup.

K.O.tique, je ne suis pas top en anglais non malheureusement, mais j'ai quelques bases, je vais ecouter les paroles avec attention, merci a toi.

[Ricochette]

Voilà Tony, petit coup de pouce pour la traduction (pas totalement fidèle avec quelques erreurs, faite à l'arrache avec un traducteur en ligne) mais qui te donnera l'esprit de la chanson.


Vous êtes une chienne
Vous êtes une reine
Vous vous comportez
Indestructible
Coeur noir
Si intelligent
Jouer la partie
Vous obtenez le meilleur d'entre eux
Tu es étrange
Vous ne pouvez pas changer
Page suivante
Alors excitable
Vous êtes dur
En charge
Au lit
donc inévitable
Pourquoi est-ce que vous êtes né de mentir?
Il est un jeu pour vous
Pourquoi est-ce que vous êtes juste borderline fou?
C'est vrai
Vous les tirez dans
Vous les expulser
Vous laissez une traînée de destruction autour
Pourquoi est-ce que vous êtes né de mentir?
Juste un jeu pour vous
Tu es fâché
Dommage
Vous courez
Avec le meilleur d'entre eux
Votre genre
donc raffinée
ils sont aveugles
Faire la plupart d'entre eux
Il est un jeu (comme les échecs)
Comme la gloire (ce qui est mieux?)
Il est une compétence (frisson pas cher)
vous regarde toujours
Vous taquinez
Vous s'il vous plaît
Ils saisissent
Ils détiennent une flamme pour vous
Pourquoi est-ce que vous êtes né de mentir?
Il est un jeu pour vous
Pourquoi est-ce que vous êtes juste borderline fou?
C'est vrai
Vous les tirez dans
Vous les expulser
Vous laissez une traînée de destruction autour
Pourquoi est-ce que vous êtes né de mentir?
Juste un jeu pour vous
Vous ne pouvez pas être dit, ce qui ne peut être dit
La route de la solitude est de savoir quand aller au lit
(Tout ce que vous touchez se déroule)
Pourquoi est-ce que vous êtes né de mentir?
Il est un jeu pour vous
Pourquoi est-ce que vous êtes juste borderline fou?
C'est vrai
Vous les tirez dans
Vous les expulser
Vous laissez une traînée de destruction autour
Pourquoi est-ce que vous êtes né de mentir?
Juste un jeu pour vous

[Ricochette]

Vos messages sont fort, pleins d'espoir, j'aimerais tant y croire...

Tu aurais tort de perdre espoir car tu as réellement les capacités à rebondir. Mais il faut que tu fasses preuve de patience, c'est très long et ton histoire est toute récente et pas vraiment décantée encore.

Vous etes des gens bien, vous méritez d'etre heureux et respecté, tous autant que vous etes, j'espere vraiment que vous sortirez de cette spirale infernale.

Pour ma part, c'est fait! Enfin libre, un cadeau que je me suis faite en quittant ce bourbier.
Je ne vais pas m'étendre sur les avantages que j'y trouve, ce serait indécent, ça risquerait de faire des envieux et ça n'est pas à l'ordre du jour pour toi Tony.