je ne sais plus quoi faire

[Nas]

@Zep :http://www.sos.cocus.org/viewtopic.php?f=21&t=2050

[zep]

On en apprend tous les jours. merci, Nas !

[zep]

Bonjour à tous et toutes.
Beaucoup de temps a passé deouis mon dernier post et je constate que hélàs le forum ne désemplit pas de nouvelles histoires plus difficiles les unes que les autres.
J'éprouve aujourd'hui le besoin de revenir sur le site afin de vider mon sac.
Après avoir plusieurs fois menacé mon homme de le quitter s'il ne réintégrait pas le domicile, j'ai chaque fois cédé en croyant à ses promesses de retour : il allait mettre un terme définitif à sa relation, il ne lui fallait que quelques jours pour tout régler, bla, bla, bla,... Et j'avoue que chaque fois je me suis dit : ne gâche pas la nouvelle vie à deux qui nous attend, tiens bon. Bref, je vois le temps qui passe, il mange avec sa fille et moi à la maison, puis repart le soir chez l'autre. Le rituel, quoi. Il finit tout de même par refaire l'amour avec moi, m'emmene même en weekend. Je me dis alors que se retrouver comme ça ensemble ne peut être que bon pour la reprise de notre vie de couple. Je sens la fin du règne de l'autre très proche.
Et le temps continue de passer, l'été est bien entamé et me renvoie des bouffées de douleurs passées. Car cela fait un an que tout à commencé. Un an ! C'est court et pourtant très long à passer dans cette situation. J'essaie à lui faire comprendre que j'arrive au bout de mes possibilités de patience et de compréhension et que je ne peux plus continuer comme ça. D'autant plus qu'au cours d'un week end ensemble, il me confie sa crainte de voir débarquer l'autre. Alors là, je me dis que les rôles sont totalement inversés et que maintenant c'est moi la compagne de dix ans et la mère de sa fille qui entre en clandestinité tout comme une maitresse !!!! Je crois que le declic s'est fait pour moi à cet instant précis. Je ne tolérait pas de devenir à mon tout la maitresse. Et je me suis rendue compte que ces moments volés n'étaient pas pour lui pris dans l'optique de nous rapprocher pour rebatir quelquechose ensemble mais comme autant de façon de prendre du bon temps et de repousser le moment ou il lui faudrait affronter les reactions surement violentes de l'autre s'il lui annoncait qu'il la quittait pour revivre avec moi. Bref, il trouvait tous les prétextes pour eviter le conflit. A partir de la, j'ai été très claire avec lui et surtout très ferme : je lui donnait jusqu'au 30 juillet pour régler son histoire avec elle et ce de manière défifnitive ou sinon je le quittais. Bien sûr qu'il a encore tout fait pour me rassurer sur l'imminence de sa décision et m'a fait repousser le délai au lundi suivant, c'est à dire au 02 aout. J'ai accordé le week end mais en sachant très bien au fond de moi qu'on ne serait pas plus avancés le lundi. Ce qu'il n'a pas compris c'est que mon ras le bol etait au maximum depuis un bon bout de temps et que cette fois, je ne cèderais plus. Notre histoire allait se terminer. Je pensais à moi surtout et à mon estime de moi même bien mise à mal durant ces un an d'ultimatum non respectés. Pour moi, cette fois serait la bonne, j'en étais sure.
Par la même occasion, j'ai laissé tombé le psy qui ne m'apportait absolument aucune aide dans l'histoire. J'avais comme l'impression qu'il attendait la séance suivante pour savoir tous les rebondissement de l'histoire. Et en sortant de chez lui, je me disais que le peu qu'il m'avait dit, je me l'était déjà dit moi même. Donc, exit le psy, je me débrouille mieux toute seule.
Donc, le lundi, comme je l'avais prévu, rien n'était réglé et il allait me convaincre de repousser l'échéance. Mais je l'ai coupé net dans ses beaux discours en lui disant que c'etait terminé entre nous et que je ne reviendrais plus sur ma décision. Il a essayé de m'amadouer mais, malgré la souffrance, je n'ai pas cédé. Il est donc parti, puis est revenu à la charge avec un air de chien battu. j'ai tenu bon et je lui ai répété que ma décision était prise. Il est reparti puis revenu encore une fois et là, voyant que je tenais toujours le meme langage, il a commencé à me parler plus durement, à essayer de me faire culpabiliser,... J'ai coupé court et là il a compris qe je ne cederai pas. J'ai été très claire et surtout très ferme. Malgré la douleur, j'ai été vraiment très fiere de moi.
Le surlendemain, il avait soit disant rompu completement avec l'autre mais, fort heureusement, je ne suis pas tombée dans le panneau et j'ai maintenu ma décision. Je ne veux pas qu'il revienne chez moi (car la maison m'appartient en fait) parce qu'il ne sait pas ou aller et parce qu'il se retrouve avec un gros découvert bancaire. Je ne veux pas reconstruire une relation en ayant toujours ce doute dans la tete. Donc je lui ai proposé de nous séparer et surtout qu'il s'assume en trouvant un logement, un travail, ... et qu'il clarifie sa situation avec l'autre.
Je constate qu'il l'appelle encore, peut etre la voit il aussi, je ne sais pas, mais je me dis que j'ai pris la bonne décision. Je me sens soulagée au fond de moi.
Je languis maintenant qu'il enlève ses affaires de la maison pour que les choses soient bien claires entre nous. Et ensuite on verra.

[zep]

Je ne sais plus quoi faire : le titre de mon premier post est hélàs toujours d'actualité. La situation est désormais la suivante : à l'annonce de ma rupture avec lui, il s'est enfin décidé à rompre avec elle. Toutefois, je constate qu'ils s'appellent encore. Bien sûr qu'une relation d'un an ne se termine pas du jour au lendemain. Mais cela me met mal à l'aise car j'ai la hantise qu'il se remette avec. il semble pourtant décidé à ne pas retourner chez elle. Mais comment le croire après tant de mensonges ? Bref, je lui fait part de mes réticences à revivre de suite avec lui (car il se retrouve avec un gros découvert sur son compte en banque et le moral dans les chaussettes), je ne veux absolument pas prendre en charge ses problèmes moraux et financiers dus à son aventure. Et puis, je ne veux pas non plus repartir avec un doute énorme, à savoir est-ce qu'il revient réellement pour moi ou parce que il ne sait pas ou aller ailleurs et se retrouve sans argent. Et dans ce cas la, je représenterais uniquement une bouee de sauvetage matérielle. Je ne peux pas reconstruire quoi que ce soit en ayant ce sentiment en tete. Aussi, je mui propose de nous séparer quelques temps afin que chacun réfléchisse et surtout qu'il me montre qu'il est capable de s'assumer (au niveau du quotidien : travail, argent, factures, logement, ...). J'ai tellement pris tout ça sur moi durant dix ans que je ne veux pas retomber dans tout ça. Si on est deux, on gère tout à deux, il n'y a pas que les loisirs à partager.
Le problème, c'est qu'il n'a pas les moyens pour l'instant de payer un loyer. Ces derniers jours, il est parti dormir dans sa voiture à la belle etoile. Il me dit qu'il n'a pas trop mangé, faute de moyens. Mais je connais aussi son coté comédien, sa facon d'essayer à me faire culpabiliser (c'est vrai que moi, j'ai ma maison, mon travail et de quoi m'assumer moi et notre fille, et je n'ai pas à en culpabiliser ; mais je n'ai pas un gros salaire non plus). Je me dis qu'il n'a que ce qu'il mérite mais en même temps je supporte très mal de le savoir en difficulté.
Coté sentiments, j'ai vraiment morflé dans cette histoire, à espérer son retour depuis plus d'un an. Cela m'a fatigué et décu de voir qu'il tardait tant à prendre une décision. Je me sens épuisée aujourd'hui, usée par tant de souffrances et de déceptions. Je suis méfiante par rapport à ce qu'il peut dire ou faire, je crois que j'ai énormément de mal à lui refaire confiance. et je me suis habituée aussi à vivre seule et à m'assumer. J'avais atteint une sorte d'équilibre que j'ai peur de briser avec son retour. Et briser tout ça pour repartir dans le meme système qu'avant, c'est non !!! Je ne sais plus dire si je l'aime encore d'amour, je ne me sens plus le courage de surmonter ma méfiance envers lui. Car au fond, je ne sens pas une réelle volonté de sa part de tout faire pour rebatir notre couple. Son retour sonne trop faux pour moi, je pense, car je me dis que si je n'avais pas tenu bon quant à ma décision de le quitter, il serait encore à faire la navette entre elle et moi.
En prenant la décision de mettre un terme à notre relation, je me sentais soulagée et m'était dit que cela allait débloquer enfin la situation. Hélàs, prise entre le désir de faire le point seule et celui de ne pas le voir à la rue comme un clodo, je me sens à nouveau prisonniere, étouffée par des sentiments très contradictoires. Bref, JE NE SAIS PAS QUOI FAIRE !!! (pour le moment). Si j'étais seule, je me dis que je partirais quelques temps, mais j'ai ma fille et je ne peux pas la laisser.
y a t il quelqu'un qui vive ou ait vécu ce genre de situation ? je suppose que oui ! j'ai besoin d'aide et de conseils pour y voir plus clair.

[Adèle]

Zep.... il n'y a pas de bonnes ou mauvaises réponses.... Tu dois décider ce qui est mieux pour toi.... pour te sentir bien....

[aie]

En prenant la décision de mettre un terme à notre relation, je me sentais soulagée

moi, j'ai connu une situation similaire. D'abord, mon homme m'a dit qu'il voulait me quitter. puis finalement 3 semaines plus tard qu'il etait amoureux de ma meilleure copine. Finalement, encore 3 semaines plus tard, j'ai jeté l'éponge. Je me suis dit que j'avais fait ce que je pouvais, que j'avais atteint le fond et qu'il fallait en finir. Que la vie n'etait pas terminée. Et moi aussi je me suis sentie soulagée et pressée qu'il s'en aille.
A ce moment la, je ne savais pas qu'il me trompait.
C'est donc précisement à ce moment qu'il a fait volte face. Il m'a dit qu'il voulait rester avec moi. Il m'a dit textuellement "maintenant, je sais ce que je veux mais je ne sais pas comment y arriver". Et toi, qu'est ce que tu veux? Tu veux que je m'en aille?
Honnetement, j'ai hesité un peu. Je me suis sentie angoissée et très en colère qu'après m'etre battue comme une folle contre un mur, au moment ou je capitule, la responsabilité du choix me revienne entierement. Mais je me suis dit aussi que 25 ans ensemble, c'etait pas rien et comme je croyais qu'il ne s'etait rien passé de concret, je lui ai dit que je voulais qu'on reste ensemble.
C'est 3 jours plus tard que j'ai découvert le pot au rose. Folle de rage et de douleur, j'ai foncé chez la salope et qui m'a ouvert la porte? mon homme.
Oh, bien sur, il n'a plus jamais couché avec elle après ca (pas même le jour où je l'ai trouvé chez elle) mais il on continué a avoir des contacts, des echanges de mails avec des mots que je n'aurais jamais du lire et peut-etre même à se voir, jusqu'a mi-janvier.

Et ca, c'est mon plus grand regret d'avoir dit "reste". Parce que être trompé, c'est dur, mais ca, c'etait de la pure humiliation, de la manipulation, c'est vicieux, c'est faux, c'est la négation absolue du libre arbritre et je crois que c'est de ca que j'ai le plus de mal à me remettre.
On te donne des informations fausses et on te demande de prendre une décision, de t'engager. Et quand tu découvres le pot au roses, tu t'apercois que les promesses n'engagent que ceux qui y croient et que tu peux accuser personne de ta propre connerie. C'est humiliant, c'est destructeur, c'est révoltant. 8 mois plus tard, j'en boue encore de rage.

Je me sens comme une sorte de vieille merde qui a leché ses pompes pour pas qu'il me laisse tandis que lui n'avait pas de respect minimum de cesser de la voir/lui parler. Alors qu'en fait, si j'avais su, j'aurais dit "part". Je ne sais pas où on en serait aujourd'hui mais j'aurais sans doute pas cette impression de pas avoir de figure, d'avoir troqué mon amour-propre et le respect de moi même contre la sécurité.
Bien sur, c'est pas ca, j'ai dit reste parce que je l'aime et que j'avais confiance en lui mais je supporte pas l'image que ca me renvoie de moi. Malgré son amour et toutes les preuves qu'il m'en donne, je me sens mal, humiliée, j'ai l'impression d'avoir perdu ma dignité

[SENSEI]

bonsoir zep

juste qu'à présent, j'ai évité d'intervenir parce que mon manque de "diplomatie" n'aurai franchement pas été d'un grand secours pour toi mais au vu de ce que je viens de lire, je crois qu'il est grand temps de sortir les cartouches.
tu vas avoir la gentillesse de ramasser ce qu'il te reste d'amour propre et foutre les affaires de ce traine-patin dehors.
c'est quoi cette nouvelle mode de merde, une semaine chez sa maîtresse une semaine chez toi selon son humeur, ses envies sa situation financière....
où on va b......
comment peut tu permettre ça?
c'est tout à fait normal qu'il se comporte comme un c....... s'il sait que tu lui offre l'absolution à chaque fois.
réagis bon sang et quand je dis réagir je ne te parle pas des pitoyables menaces que tu lui as balancé à la figure.
Je te parle de gestes significatifs.

désolé d'être aussi sec.

[patoche]

sensei me devance dans ce que je voulais dire .
vire le !

[zep]

Merci pour vos témoignages et avis. Je crois que ma décision d'en finir était déjà prise au fond de moi depuis pas mal de temps déjà. Je me dis que j'ai d'abord tenu par amour, bien sur, puis, sur la fin, peut etre plutot par esprit de compétition, histoire de gagner cette lutte terrible que se joue depuis un an. C'est affreux de dire ça, mais je pense que depuis quelques temps, je ne croyais plus à mon avenir avec lui.
Aussi, ma décision est désormais prise de continuer ma route seule. Depuis que je suis quasi seule, j'ai appris à me gérer sur tous les plans et je suis fiere de moi à ce niveau la. J'ai réussi à retrouver un équilibre financier que je n'avais plus depuis longtemps avec cet homme pompe à fric et grand dépensier.
Mais, même si l'argent a été un très gros problème entre nous (j'étais la fourmi de notre couple, dépassée et angoissée par les dépenses incessantes de mon compagnon cigale), je crois qu'au fond je ne lui pardonne pas d'avoir fait trainer cette situation en longueur et de s'etre plus soucié de gérer la fragilité de sa petasse au détriment de sa fille et de moi.
Aujourd'hui, j'ai beaucoup réfléchi à tout ça et je me dis que le bilan de ces dix ans de vie commune est plutot négatif globalement : car meme s'il m'a apporté beaucoup sur le plan psychologique (j'ai beaucoup évolué avec lui, je me suis interessée au developpement personnel, à la psychologie, j'ai fait des activités sportives diverses), il ne m'a pas vraiment épaulée au quotidien, m'a laissé tout gérer y compris le fric. j'en ai perdu plus que ce que j'en ai gagné avec lui, cédant à ses caprices souvent car il avait l'art de convaincre. Je m'en veux d'avoir été faible sur ce plan, je ne me voyais pas vivre sans lui simplement parce que j'avais peur de la solitude. Après plus d'un an de cette galère psychologique, je me rends compte que j'ai été parfaitement capable d'assumer (y compris sa grande ado durant quelques mois, qui aujourd'hui ne me donne aucune nouvelle et ne vient pas voir sa petite demi-soeur. Très décevant, mais j'essaie de mettre ça sur le compte de l'adolescence même si j'ai énormément de mal à encaisser !). A travers cette épreuve, j'ai gagné beaucoup de confiance en moi, je me sens désormais pleinement adulte, moi qui me sentais toujours inférieure et enfant. Bref, comme on dit, ce qui ne tue pas rend plus fort. C'est tellement vrai.
Je sais que pour etre libéree de tout ca il me faut le quitter. meme si c'est douloureux, mon amour n'est plus assez fort pour continuer. Surtout que j'ai cruellement senti un manque d'effort evident de son coté visant à reconstruire notre couple. Il me semble qu'a sa place, j'aurai pris conscience du type de vie que je pouvais avoir d'un cote comme de l'autre, j'aurai pesé le pour et le contre et j'aurais foncé et me serais battu corps et ame pour redonner confiance à l'autre, pour montrer que réellement revivre avec lui était mon veritable but. mais helas, je n'ai rien vu de tout ca.
Toute cette histoire fait mal, je me sens usée et fatiguée, comme si je sortais du ring après un combat de boxe épuisant. Je ne peux m'empecher de me dire que j'ai gaché plus d'un an inutilement (sauf en ce qui concerne ma "maturation", mais au prix de quelles souffrances) voire plus si je me penche sur nos dix ans de vie commune.
Une amie m'a dit que peut-etre je n'avais pas voulu voir à l'époque que je m'étais trompée. Je crois qu'elle a raison.
Toutes ces reflexions se bousculent dans ma tete et je crois que j'ai surtout besoin de la vider, de penser à autre chose et de parler d'autre chose.
Mais il faudra un peu de temps pour tourner la page. Maintenant, il faut absolument qu'il s'en aille.

[aie]

C'est bien.
Ce qui importe, à un moment donné, ce n'est plus d'avoir raison ou de se tromper, c'est de savoir ce qu'on veut/doit faire et d'agir, pour se remettre à exister.

Courage. Qui vivra verra

[SENSEI]

je crois qu'au fond je ne lui pardonne pas d'avoir fait trainer cette situation en longueur

il ne tenais qu'à toi d'abréger cette situation.le fait de porter des cornes ne nous enlève pas notre libre arbitre.
bonne chance pour la suite

[Alexandrovitch]

Pardonnez-moi les uns et les autres, mais trop souvent quand je lis les réponses que certains d'entre nous donnent aux questionnements des nouveaux cocus , j'ai l'impression d'être dans un univers scolaire volontariste pas marrant :"Tu dois..." Il faut que "... "Il faudrait que"... "je t'intime l'ordre désormais de...". OK, les amis, mais si tous les cocus étaient capables de suivre vos injonctions telles que vous les formulez, je ne croient pas qu'ils éprouveraient le besoin vital de nous interpeller sur ce forum, non?...

[Nas]

Aucun ordre, pas d'injonction, jamais de "il faut que" ou de "tu dois"....Juste un avis donné par rapport à une expérience, un ressenti, un vécu.
Personne n'a la prétention, ici, de détenir la vérité. Nous ne sommes là que pour epauler et donner nos avis, pas d'ordonnances ou d'ordre, juste un soutient en somme...
Soutient dans lequel le "nouveau" cocu trouvera ou ne trouvera pas de quoi se sentir moins seul, de quoi trouver réponse à ses questions, et surtout, je crois de quoi avoir des avis exterieur à son histoire.

[Alexandrovitch]

Sincèrement désolé de t'avoir heurté, Nas. C'était pas l'objectif... Et si j'en ai heurté d'autres, j'en suis tout aussi désolé... Je peux juste affirmer ceci, parce que je m'en suis tiré à tous les niveaux Dieu sait par quel miracle : même si mes formulations sont maladroites, je suis animé de bonnes intentions.

[Manu]

Salut,

Pardonnez-moi les uns et les autres, mais trop souvent quand je lis les réponses que certains d'entre nous donnent aux questionnements des nouveaux cocus , j'ai l'impression d'être dans un univers scolaire volontariste pas marrant :"Tu dois..." Il faut que "... "Il faudrait que"... "je t'intime l'ordre désormais de...". OK, les amis, mais si tous les cocus étaient capables de suivre vos injonctions telles que vous les formulez, je ne croient pas qu'ils éprouveraient le besoin vital de nous interpeller sur ce forum, non?...

Détrompe moi alexandrovitch ! parfois on a besoin que l'on nous dise "mais bordel de merde tu fais de la merde là et il faudrait pour ton bien que t'arrête !!!! "

moi je le sais j'ai besoin d'être secoué parfois et sur ce forum je l'ai été !