Re: Doit-elle changer de travail ?
Posté : dim. 1 mai 2011 01:11
Ma "décision" était de tenter de continuer ensemble avec quelque amménagement et amélioration.
La sienne est de partir vivre seule quelques temps pour faire le point puis de revenir, ou pas.
Vu que que je veux pas la retenir, elle partira.
Là où ça devient lourd c'est le temps que prend ce départ. Au plus c'est long, au plus j'ai envie qu'elle reste (car on passe encore de bon moment malgré tout) mais au plus j'ai envie qu'elle parte une bonne fois pour toute, comme ça c'est fait. C'est totalement contradictoire mais pour donner une image de ce que je ressens, ce serait (toute proportion gardée bien entendu) comme apprendre d'être condamné à court terme : il te reste quelque semaine à vivre et tu as envie d'en profiter à fond, mais en même temps l'angoisse de la fin, qui se rapproche inexorablement, donne envie d'en finir au plus vite.
Là elle est trouvé une solution, mais l'endroit n'est pas encore habitable (ni eau, ni electricité,...) et il est difficile de dire quand il le sera. Donc la situation est toujours la même. En plus, alors que pour l'instant j'ai l'impression d'avoir plutôt bien géré, mes sautes d'humeurs sont de plus en plus difficile à canaliser.
Aujourd'hui elle m'a également dit que je fesais trop souvent des allusions sur son adultère et que c'était difficile à vivre pour elle et une des raisons pour laquelle elle partait. Je viens de lire ailleurs sur le site que c'était une situation assez courante. En fait j'ai surtout l'impression que c'est une des seules façon pour moi de l'extérioriser puisque, contrairement à elle qui a déjà parler de ses problèmes à tous ces amis proches, je me retrouve à devoir tout garder pour moi (et non, je n'ai pas envie de voir un psy, je suis assez réfractaire à ce genre de chose).
La sienne est de partir vivre seule quelques temps pour faire le point puis de revenir, ou pas.
Vu que que je veux pas la retenir, elle partira.
Là où ça devient lourd c'est le temps que prend ce départ. Au plus c'est long, au plus j'ai envie qu'elle reste (car on passe encore de bon moment malgré tout) mais au plus j'ai envie qu'elle parte une bonne fois pour toute, comme ça c'est fait. C'est totalement contradictoire mais pour donner une image de ce que je ressens, ce serait (toute proportion gardée bien entendu) comme apprendre d'être condamné à court terme : il te reste quelque semaine à vivre et tu as envie d'en profiter à fond, mais en même temps l'angoisse de la fin, qui se rapproche inexorablement, donne envie d'en finir au plus vite.
Là elle est trouvé une solution, mais l'endroit n'est pas encore habitable (ni eau, ni electricité,...) et il est difficile de dire quand il le sera. Donc la situation est toujours la même. En plus, alors que pour l'instant j'ai l'impression d'avoir plutôt bien géré, mes sautes d'humeurs sont de plus en plus difficile à canaliser.
Aujourd'hui elle m'a également dit que je fesais trop souvent des allusions sur son adultère et que c'était difficile à vivre pour elle et une des raisons pour laquelle elle partait. Je viens de lire ailleurs sur le site que c'était une situation assez courante. En fait j'ai surtout l'impression que c'est une des seules façon pour moi de l'extérioriser puisque, contrairement à elle qui a déjà parler de ses problèmes à tous ces amis proches, je me retrouve à devoir tout garder pour moi (et non, je n'ai pas envie de voir un psy, je suis assez réfractaire à ce genre de chose).