Histoire banale, mais grande souffrance

La découverte de l’infidélité est une expérience traumatique. Il est souvent difficile d’être objectif lorsque nous traversons des situations déstabilisantes. Parlons en sans complexe.

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speedy
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Re: Histoire banale, mais grande souffrance

Message par speedy »

Ouais, c'est comme pour tous les autres docteurs, il y a des biens et d'autres durs comme de l'âne.
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inconnu
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Re: Histoire banale, mais grande souffrance

Message par inconnu »

En lisant vos témoignages, nos histoires toutes aussi dramatiques les unes que les autres, j’ai pensé à ce monologue que pourrait avoir une personne trompée face à son conjoint.
« Je me connecte sur un site, et ce qu’il en ressort c’est que les personnes ayant trompées leur conjoint ont cette faculté de pouvoir tourner la page et de passer à autre chose assez facilement sans prendre conscience des conséquences de ce qu’ils ont fait. En cachant la vérité, en mentant, en se disant que l’on peu faire des erreurs et que finalement cela n’est pas aussi grave que çà. Et puis en face il y a les cocus, ceux qui ont mis l’être aimé sur un piédestal, qui avaient une confiance aveugle, qui était la clef de voute de leur existence, leur raison d’être, d’avancer, de se battre, de construire. Par un mauvais jour, il découvre la sinistre vérité. Alors en quelques instants tout s’écroule. C’est le tremblement de terre, l’apocalypse, tout n’est que ruine et désolation. De ces ruines surgissent alors ces démons que l’on appelle tourments, rage, peur, haine angoisses, déprime, dépression, anéantissement de soi, larmes, et cette question qui tourne sans cesse dans la tête, POURQUOI ? Pourquoi n’y a-t-il pas eut un voyant rouge qui c’est allumé, POURQUOI ? Parce que l’être aimé ne t’aimait plus, il ne t’aimait pas, tu n’étais plus rien, tu n’étais rien, tu avais disparu de son univers, le vide le néant. Alors il repense à ces moments là, ou l’être aimé le regardait droit dans les yeux, lui disait, ‘ Je t’aime’, lui faisait l’amour tendrement, amoureusement, passionnellement, alors qu’il s’était donné à un autre. A tous ces mots dit et écrit, tous ces ‘ Je t’aime, mon amour, mon chéri, je t’embrasse, je suis mal loin de toi, tu me manques. Tous ces mots qui font mal quand ils ne sont pas pour soi ! Alors oui je suis mal, oui je souffre physiquement et moralement. Oui il y a des jours ou je n’ai pas envie de rentrer ou je traine en chemin. Oui je ne suis pas câlin, parce qu’il t’a pris dans ses bras, que tu l’as tenu dans les tiens. Oui je pleure souvent, en cachette, comme un gamin qui aurait fait une bêtise. Oui il y a toutes ces questions que je voudrais te poser et que l’on me déconseille de faire. Oui il y a des soirs ou je ne veux pas monter avec toi dans la chambre, pour ne pas te voir te déshabiller parce que je te vois faire la même chose dans cette chambre ou tu t’es donnée à lui et que cela m’est insupportable. Oui j’ai voulu te quitter, j’ai voulu en finir. Oui je le hais et je souhaite qu’il souffre autant que je souffre ! «
Jamais plus il ne serait tout à fait ce qu'il avait été. Toute une partie de lui même venait de mourir.
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Nas
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Re: Histoire banale, mais grande souffrance

Message par Nas »

C'est bien dit....bien écrit... ainsi donc nous vivions tous dans le joli monde sucré et naïf des Bisounours où l'on se croyait invincible, au dessus du malheur des autres, libres et heureux, amoureux et confiant, prêt à vieillir....
La chute est dure, mais le point positif est qu'à présent on a les yeux grands ouverts !
Courage l'Inconnu, ce qui ne tue pas rend plus fort !
Faire confiance est une preuve de courage, être fidèle est un signe de force
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aie
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Re: Histoire banale, mais grande souffrance

Message par aie »

Mon pauvre ami. Tes mots sont un parfait écho de nos ressentis.
Je me souviens à l'époque où j'étais dans le même état que toi, que je faisais des tours en voiture, fenetres fermées, en hurlant de toutes mes forces pour tenter de libérer un peu ma poitrine oppressée jour et nuit, j'ai un jour reçu un sms de quelqu'un que je ne connaissais pas: le mère d'une amie de ma fille qui était passée par la même épreuve. Elle me disait
Ridicule ce que je vais te dire mais sincerement vrai: Après la pluie le beau temps! Et je te comprends que pendant l'averse c'est super difficile mais crois moi, l'avenir s'éclaircira à nouveau pour toi. Range ta colère et laisse couler tes larmes. Ensuite, la vie se réorganise autrement et nous oblige à penser différement, à inventer la suite de l'histoire à notre manière, et surtout, dis toi que tes enfants, après l'orage, découvriront une autre mère, libre, vraie, elle-même; et cela, ils en seront très heureux. Il te faut de la patience et ne confond pas amour et orgueil. Pose tes armes car ce n'est que toi au final qu'elles blessent. Je t'embrasse et en connaisseuse, je te souhaite le meilleur à venir
Sur le moment, le message m'a fait plaisir, je me suis sentie un peu moins seule mais je ne peux pas dire que ca m'ait vraiment aidé. Ma colère était légitime, mon dégout et ma déception aussi et tous ces sentiments que tu décris si bien dans ton post.

Mais le temps passant, la souffrance s'apaise. Elle n'est plus comme le cri strident d'une flute dans laquelle on s'epoummone mais plutot comme le battement sourd et lent d'un tambour qui s'éloigne. Supportable
Alors j'ai regardé autour de moi et j'ai vu cette espece de chaine de solidarité qui s'etait tricotée autour de moi pendant mon "absence". J'ai vu le changement d'attitude de mes collegues de travail qui me regardaient avec une sorte d'inquietude dans les yeux et qui me parlaient avec douceur et me protégeaient des problèmes, masquant et réparant mes bétises en toute discretion, sans même me le faire savoir. J'ai découvert des amis que je n'avais pas vraiment bien regardé et qui s'averaient sensibles et profonds. J'ai vu que mes enfants avaient grandi et qu'il étaient vraiment formidables, forts, sensibles, généreux, des gamins vraiment biens. J'ai vu mon homme malheureux comme les pierres, ne plus pouvoir se regarder dans une glace, ne plus pouvoir se respecter lui meme, perdu, ne comprenant pas comment il avait pu, qu'est ce que ca lui avait apporté, ayant perdu toute confiance en lui même, ayant blessé profondement et durablement tous ceux qu'il aimait pour rien.
J'ai vu aussi ceux dont je n'avais rien à attendre, qui prennaient sans jamais rien donner d'eux même. C'est comme si je voyais mieux.

Quand on finit pas émmerger de tout ca (parce qu'on finit toujours par en emmerger d'une manière ou d'une autre) on ne vit plus pareil. Tout est plus intense, la sensibilité est plus fine, on profite mieux des petits plaisir. On est aussi moins dur avec soi-même je crois.
Ca ne veut pas dire que je pardonne, ni que je n'ai plus des bouffées de rage ou des crises de larmes ou des envies de meurtre ou des petites vengeances mesquines mais j'accepte plus volontiers ce que je ressens, que ce soit positif ou négatif. Je m'autorise davantage de me laisser aller, de dire crument ce que je pense et d'en accepter les consequence. J'ai moins peur de l'avenir aussi comme si depuis toutes ces années, c'était trop beau pour durer et je m'attendais à un retour de manivelle de la vie. Voila, j'ai pris la manivelle en pleine gueule, ca c'est fait. J'ai survecu donc la vie reprend avec ma nouvelle gueule, un peu défoncée mais peut-etre plus humaine.

Courage, un jour après l'autre. C'est comme quand on est malade. On prend des médicamment pour se soigner mais on sait bien qu'il faut attendre, que la souffrance finira par passer. Il faut se mettre en mode repos, s'occuper pour repousser les mauvaises pensées pendant que le temps fait son oeuvre. Le temps n'est pas un rapide mais il fait son oeuvre tout seul, il faut juste essayer de s'occuper un peu pendant qu'il travaille.
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Re: Histoire banale, mais grande souffrance

Message par inconnu »

Merci aie. Tes mots me vont droit au coeur .
" Quand on a que l'amour pour vivre en partage ....." extrait d'une chanson de BREL, oui NAS on vivait dans un monde serein, on chantait on riait on était insouscient. Ce n'est pas mieux ainsi ?
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Re: Histoire banale, mais grande souffrance

Message par Gary77 »

C'est mieux tout simplement quand les 2 êtres qui s'aiment sont sincères l'un envers l'autre.
"Bien souvent, après une tragédie, un homme est brisé à jamais. Il ressasse le passé, aspire à se reconstruire... Mais ce drame peut être une opportunité, il nous donne une chance de renaître et de nous reconstruire sur de nouvelles bases."
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aie
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Re: Histoire banale, mais grande souffrance

Message par aie »

on vivait dans un monde serein, on chantait on riait on était insouscient
de ca, je ne suis pas sure. Il n'y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir et personne ne sais mieux nous aveugler que nous même.
Non, tout n'était pas qu'amour et serenité sinon, on n'en seraient pas tous arrivés là ! Mais ce n'est sans doute pas encore le moment des remises en questions. Pour l'instant, inconnu, c'est le moment de crier sa peine et sa souffrance. Chaque chose en son temps.
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Re: Histoire banale, mais grande souffrance

Message par Adèle »

aie a écrit :
de ca, je ne suis pas sure. Il n'y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir et personne ne sais mieux nous aveugler que nous même.
Comme c'est trop vrai.... avec du recul, on se rend compte qu'il y a pas toujours que le cocufieur... qui nie... le cocu aussi...
On va mieux lorsqu'on comprend que la fin d'un couple, n'est que la fin d'un monde... pas du monde.

**on est incurable lorsqu'on chérit sa souffrance** Gustave Flaubert.
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Re: Histoire banale, mais grande souffrance

Message par inconnu »

Adèle et Aie je ne suis pas d'accord ,si on était serein etc, jusqu'à ce jour ou elle a retrouvé cet ancien flirt de jeunesse, 30 ans plus tard. Pourquoi tout a basculé ? Je suis peut être fautif, mais de quoi ? d'avoir trop aimé ma femme ?
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tropconfiante
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Re: Histoire banale, mais grande souffrance

Message par tropconfiante »

ce que vous dites ..souvent je le sauvegarde...j'en ai plein de ces messages dans un dossier camouflé ... ça m'a aidée vous ne pouvez pas savoir! ou si! bien sûr vous le savez!!!
moi ce qui m'a manqué c'est l'amitié! seule une collègue très proche m'a écoutée et aidée.... et protégée...
mes prétendues "amis "et relations...ils ont réagi avec leur problématique: la jalouse..la moralisatrice..la commère..la curieuse...l'intolérante...le rejet...et toutes: un incroyable manque de tact...j'ai fait le vide.... et ça aussi il faut le reconstruire: trouver d'autres relations sociales ..on ne peut s'enfermer chez soi à vie une fois la gros du chagrin passé..faut bien se lancer .. mais voila...dans mon coin de montagne..c'est un peu le désert..
un autre ravage et non des moindres de l'infidélité! car le trompeur lui aussi a trinqué de ce côté!!!
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Re: Histoire banale, mais grande souffrance

Message par inconnu »

Bonjour tropconfiante,
Si ce que j'écris vous aide c'est bien. Vous savez dans les grandes villes il y a beaucoup de monde certe, mais le désert existe, on se sent trés seul(e) et je n'ai personne à qui parler .
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Re: Histoire banale, mais grande souffrance

Message par inconnu »

'JUe pense que justement on tente de faire la part des choses: il m'a trompée une fois en 23 ans de bonheur, quel poids dois je accorder à ça, quelle importance? C'est rationnel... Le tout est ensuite de faire comprendre au coeur ce que la tête a estimé... C'est là la difficulté...'

Oui c'est bien là la difficulté. Quand le coeur et la tête ne sont plus synchro tout peu basculer.
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Re: Histoire banale, mais grande souffrance

Message par inconnu »

Dans nos esprits tourmentés, ballottés, submergés par tant de souffrances, j'ai jeté des mots sur des pages blanches. L'histoire de la dame blonde en est le résultat. Un moyen comme un autre de s'en sortir.
SYNOPSIS : C'est l'histoire d'un mec qui apprend que sa femme le trompe, dans son grand désarroi il rencontre une dame blonde....

Il était mal dans sa tête, très mal, malgré tout l’amour dont l’entourait sa femme et c’est certainement pour cette raison qu’il était sorti ce jour là, seul. S’il avait su !

Deux infirmiers attendaient dans la cours des urgences de l’hôpital de la malchance.
C’est l’effervescence dit l’un deux, tous le monde est sur le pied de guerre. Les infirmières ont préparée la salle d’opération N° 1, les chirurgiens se préparent et ils ont même fait appel à Roberto.
A Roberto dit l’autre, celui qui drague la vendeuse du Kiosque qui est prêt du distributeur ?
Oui, même qu’on la surnomme Roberta. Ils si mirent à rire
La salle N°1 se doit être un cas grave, faudra faire vite !
L’ambulance des pompiers arriva à vive allure toutes sirènes hurlantes, elle n’était pas encore arrêtée que les portes s’ouvraient. Les infirmiers se précipitèrent et quand le premier arriva derrière l’ambulance il se mit à crier ‘ Nom de ZEUS’ Quoi fit l’autre ? Regarde ! Allongé sur le ventre il ne voyait qu’une masse de chaire sanguinolente sur laquelle couraient des milliers de petites taches noires et une odeur de pourriture s’en dégageait.
C’est quoi çà, un macaque ?
Non dit le pompier qui sortait. Il s’est assis sur une fourmilière.
Houai fit l’un deux en se bouchant le nez, il aurait mieux fait de s’assoir sur du romarin.
Ils empoignèrent le brancard et une longue course commença dans les couloirs.
Moi j’étais allongé, à moitié dans les vaps, ne voyant que des dalles blanches défilées avec parfois des traits bleus en dedans et sur lesquelles on distinguait trois bandes de couleur une rouge, une verte, une jaune semblaient indiquées la direction à prendre, parfois quelques étoiles rompaient cette monotonie. Puis d’un coup je vis disparaitre deux bandes, ne restait que la rouge. Mauvais présage !
Nous arrivâmes dans la salle d’opération, les deux infirmiers d’une poigne ferme me mirent sur la table d’opération. L’anesthésiste se précipita et m’enfonça une aiguille dans les bras, tandis qu’une infirmière en blouse blanche me collais plusieurs capteurs les reliant à tout un tas de consoles et de moniteurs, me piquait l’autre bras pour divers perfusions. J’avais l’impression de planer et de me trouver dans un autre monde.
Tout va bien se passer, ne vous en faites pas. Me dit l’anesthésiste.
J’avais dans la tête des milliers de fourmis qui faisaient un bruit pas possible, je savais ce qui allait se passer. Je sentais des vertiges, tout commençait à tourner autour de moi quelqu’un me parlait mais je n’entendais déjà plus rien. Puis le noir, plus un bruit. Une étrange sensation m’envahissait. Doucement je sentais que je quittais mon corps, je m’élevais doucement jusqu’au plafond. Je me voyais là en bas entouré de tous ces gens qui s’afféraient sur mon derrière. Il y avait une grande enveloppe blanche cachetée et scotchée au mur. J’arrivais à voire parfaitement son contenu. Plusieurs images, comme celles que l’on donnait à l’école pour bonne conduite, 10 bons points pour une image, 10 images une récompense. Il y avait entre autre l’attaque d’un château fort, avec les archers tirant avec des flèches enflammées sur les catapultes qui elles-mêmes envoyaient de gros boulets sur les murailles du château. Un petit mot disait : ‘ A votre réveil dite à l’infirmière que vous avez pu lire ce message, vous la reconnaitrez parfaitement grâce à cette photo’ c’était elle avec sa robe longue qui ressemblait toujours à une aquarelle de Marie Laurencin

A suivre
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Charly
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Re: Histoire banale, mais grande souffrance

Message par Charly »

Eh ben ça c'est du déterrage de topic !

belle écriture, dis donc l'inconnu !
Va te coucher tôt ce soir et demain matin tu auras la réponse.
-
@ Jefferson73: Crois-moi, être cocufieur c'est vraiment chouette. T'as une sacrée montée d'adrénaline.
Alors que quand tu es cocu, c'est plutôt une descente que t'as.
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Ricochette
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Re: Histoire banale, mais grande souffrance

Message par Ricochette »

Inconnu, tu es très imaginatif et nous profitons tous que la fée littérature se soit penchée sur toi.
Le rire c'est une poussière de joie qui fait éternuer le coeur.
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