Même si la Tunisie est classée parmi les premiers pays du monde dans les cas du divorce, l’adultère n’a jamais été une cause principale autant que la cause financière ou autre par exemple.
Sexe et argent ont toujours fait bon ménage: le dénominateur commun étant la prise de pouvoir sur l'autre dès lors que l'un et l'autre sont détournés de leurs buts.
L’adultére est malgré tout en hausse constante. Mais ce dernier ne marque pas toujours pas l’échec d’un couple.
Le détournements de fond public également, la violence, d'une certaine manière... Et "on" accompagne le mouvement de façon résignée à plus en plus grande échelle, malgré des "zones franches" de résistance.
La société oblige-t-elle les gens à se contenter du médiocre tout en proposant des modèles éculés comme grandioses ?
Il interroge désormais la monogamie et les valeurs qui forgent la relation amoureuse dans notre société.
Tout comme la monogamie a interrogé en son temps la polygamie.
La polygamie masculine (pléonasme) est une tare ? Inventons la monogamie.
La monogamie aliène les femmes ? Inventons "l'amour libre"...
Années 70... Retour vers la domination masculine...
A lire d'urgence :
http://www.sens-public.org/article638.html
56% des hommes et 34% des femmes mariés qui ont fait face à l’infidélité de leur conjoint estiment être heureux dans leur union.
Ce qui signifie mathématiquement que 44% des hommes ne le sont pas et que 66% des femmes non plus.
Et pour rester rationnel et précis, l'enquête ne dit pas si parmi les 56/34 il y a des cf cachés et heureux de l'être.
Alors qu’ils pourraient divorcer, beaucoup ne l’envisagent pas. Car, au fond, la tromperie n’est pas le fruit d’une mésentente.
On se demande alors pourquoi "Cétafote"...
Les cf accusateurs seraient-ils des culpabilisateurs en puissance ?
Elle serait même, à l’inverse, le signe d’une relation « trop » fusionnelle.
On se demande alors pourquoi le cf cherche "une oreille" ailleurs.
Comment peut-on être "fusionnel" et pas assez attentionné ?
Deuxième point :
Les témoignages font remonter que c'est souvent le partenaire le plus "libre", celui qui a le plus de "loisirs" à l'extérieur qui se permet de fauter.
Comment résoudre ce paradoxe ?
La notion de "fusion" amoureuse est tout simplement relative.
"L’infidélité est quelquefois
profondément enracinée dans les problèmes de l’un des deux partenaires, (...) Les projections, les blessures, ou les injonctions inconscientes parentales ou familiales viennent faire écran au développement continu et serein pour l’un des conjoints au sein de son couple. Il projette au sein de son couple les problématiques non résolues de ses relations avec sa propre famille d’origine, voire avec certains adultes rencontrés dans son enfance ou son adolescence. Il s’agit souvent d’une mère trop fusionnelle et castratrice, ou d’un pères dévalorisant ou absent, du « cordon non coupé », et d’une difficulté à devenir adulte. Les répétitions transgénérationnelles sont aussi très prégnantes. (...)
Le triangle amoureux maîtresse-femme-mari fait penser au triangle affectif intense papa-maman et l’enfant. Ainsi, il peut y avoir une recherche d’une situation émotionnelle de l’enfance où l’on rejoint cette ambivalence et cette rivalité"
http://www.cabinet-interfaces.fr/les-ca ... nfidelite/
Beaucoup de cas démontrés ici.
A lire également :
http://www.psychologies.com/Couple/Vie- ... ne-du-male
les partenaires infidèles sont souvent des individus fondamentalement monogames au départ et heureux avec leur compagnon.
Les polys structurels sont plus nombreux.
Les quelques "c" qui dérapent sont l'arbre qui cachent la forêt...
Le mensonge crée un jardin secret
Confusion "jardin secret" et "terrain de chasse".
Confusion "bordel inconscient en action" et "conquête de ses territoires intérieurs"
L’idée actuelle du couple est celle d’une complémentarité parfaite où le partenaire devient aussi le meilleur ami. Une illusion qui encourage la fusion et néglige le goût pour la nouveauté.
La nouveauté dans l'humanitaire, le développement personnel dans le travail, l'aide aux personnes âgées, la lecture... Que nouveautés négligées au bénéfice de... quoi exactement ?
Dans le même temps, le principe de la transparence vient réorganiser l’intimité du couple. “Parce que nous vivons dans une société où la technologie rend presque impossible le secret – 99% des cas d’adultère sont révélés par mail ou téléphone “, le jardin intime de chacun, est directement menacé.
C'est bête hein !
« J’ai l’impression de devoir tout dire à mon compagnon, de peur qu’il découvre un échange qui pourrait lui déplaire », avait confié une jeune femme, mariée depuis trois ans. Pourtant, quoi de plus sain que de préserver un espace d’intimité ? « Étrangement, c’est cette obligation de partage total qui m’a poussée à avoir une liaison avec quelqu’un d’autre », ajoute la jeune femme. La liaison fournit alors une occasion de se « libérer » de l’emprise d’un couple trop fusionnel. Et la jeune femme de conclure : « J’avais besoin d’inconnu, d’aventure pour être plus heureuse ».
Un seul témoignage ne renversera pas la réalité statistique : la majorité des trompeurs ont été "libres" de le faire parce que le conjoint assure les arrières du couple. La sensation d'étouffement qui devrait tomber sur la tête du trompé est pathologique chez de nombreux trompeurs...
Alors qu'il est prouvé, par la bouche même de ceux qui les défendent que "cépatafote" !
[quote]Même si la Tunisie est classée parmi les premiers pays du monde dans les cas du divorce, l’adultère n’a jamais été une cause principale autant que la cause financière ou autre par exemple.[/quote]
Sexe et argent ont toujours fait bon ménage: le dénominateur commun étant la prise de pouvoir sur l'autre dès lors que l'un et l'autre sont détournés de leurs buts.
[quote] L’adultére est malgré tout en hausse constante. Mais ce dernier ne marque pas toujours pas l’échec d’un couple.[/quote]
Le détournements de fond public également, la violence, d'une certaine manière... Et "on" accompagne le mouvement de façon résignée à plus en plus grande échelle, malgré des "zones franches" de résistance.
La société oblige-t-elle les gens à se contenter du médiocre tout en proposant des modèles éculés comme grandioses ?
[quote] Il interroge désormais la monogamie et les valeurs qui forgent la relation amoureuse dans notre société.[/quote]
Tout comme la monogamie a interrogé en son temps la polygamie.
La polygamie masculine (pléonasme) est une tare ? Inventons la monogamie.
La monogamie aliène les femmes ? Inventons "l'amour libre"...
Années 70... Retour vers la domination masculine...
A lire d'urgence : http://www.sens-public.org/article638.html
[quote] 56% des hommes et 34% des femmes mariés qui ont fait face à l’infidélité de leur conjoint estiment être heureux dans leur union.[/quote]
Ce qui signifie mathématiquement que 44% des hommes ne le sont pas et que 66% des femmes non plus.
Et pour rester rationnel et précis, l'enquête ne dit pas si parmi les 56/34 il y a des cf cachés et heureux de l'être.
[quote] Alors qu’ils pourraient divorcer, beaucoup ne l’envisagent pas. Car, au fond, la tromperie n’est pas le fruit d’une mésentente.[/quote]
On se demande alors pourquoi "Cétafote"...
Les cf accusateurs seraient-ils des culpabilisateurs en puissance ?
[quote] Elle serait même, à l’inverse, le signe d’une relation « trop » fusionnelle.[/quote]
On se demande alors pourquoi le cf cherche "une oreille" ailleurs.
Comment peut-on être "fusionnel" et pas assez attentionné ?
Deuxième point :
Les témoignages font remonter que c'est souvent le partenaire le plus "libre", celui qui a le plus de "loisirs" à l'extérieur qui se permet de fauter.
Comment résoudre ce paradoxe ?
La notion de "fusion" amoureuse est tout simplement relative.
"L’infidélité est quelquefois [b]profondément enracinée dans les problèmes de l’un des deux partenaires[/b], (...) Les projections, les blessures, ou les injonctions inconscientes parentales ou familiales viennent faire écran au développement continu et serein pour l’un des conjoints au sein de son couple. Il projette au sein de son couple les problématiques non résolues de ses relations avec sa propre famille d’origine, voire avec certains adultes rencontrés dans son enfance ou son adolescence. Il s’agit souvent d’une mère trop fusionnelle et castratrice, ou d’un pères dévalorisant ou absent, du « cordon non coupé », et d’une difficulté à devenir adulte. Les répétitions transgénérationnelles sont aussi très prégnantes. (...) [b]Le triangle amoureux maîtresse-femme-mari fait penser au triangle affectif intense papa-maman et l’enfant. Ainsi, il peut y avoir une recherche d’une situation émotionnelle de l’enfance où l’on rejoint cette ambivalence et cette rivalité[/b]"
http://www.cabinet-interfaces.fr/les-causes-de-linfidelite/
Beaucoup de cas démontrés ici.
A lire également : http://www.psychologies.com/Couple/Vie-de-couple/Hommes-Femmes/Articles-et-Dossiers/Comment-aiment-les-hommes/La-mere-a-l-origine-du-male
[quote] les partenaires infidèles sont souvent des individus fondamentalement monogames au départ et heureux avec leur compagnon.[/quote]
Les polys structurels sont plus nombreux.
Les quelques "c" qui dérapent sont l'arbre qui cachent la forêt...
[quote][b]Le mensonge crée un jardin secret[/b][/quote]
Confusion "jardin secret" et "terrain de chasse".
Confusion "bordel inconscient en action" et "conquête de ses territoires intérieurs"
[quote] L’idée actuelle du couple est celle d’une complémentarité parfaite où le partenaire devient aussi le meilleur ami. Une illusion qui encourage la fusion et néglige le goût pour la nouveauté. [/quote]
La nouveauté dans l'humanitaire, le développement personnel dans le travail, l'aide aux personnes âgées, la lecture... Que nouveautés négligées au bénéfice de... quoi exactement ?
[quote] Dans le même temps, le principe de la transparence vient réorganiser l’intimité du couple. “Parce que nous vivons dans une société où la technologie rend presque impossible le secret – 99% des cas d’adultère sont révélés par mail ou téléphone “, le jardin intime de chacun, est directement menacé.[/quote]
C'est bête hein !
[quote] « J’ai l’impression de devoir tout dire à mon compagnon, de peur qu’il découvre un échange qui pourrait lui déplaire », avait confié une jeune femme, mariée depuis trois ans. Pourtant, quoi de plus sain que de préserver un espace d’intimité ? « Étrangement, c’est cette obligation de partage total qui m’a poussée à avoir une liaison avec quelqu’un d’autre », ajoute la jeune femme. La liaison fournit alors une occasion de se « libérer » de l’emprise d’un couple trop fusionnel. Et la jeune femme de conclure : « J’avais besoin d’inconnu, d’aventure pour être plus heureuse ». [/quote]
Un seul témoignage ne renversera pas la réalité statistique : la majorité des trompeurs ont été "libres" de le faire parce que le conjoint assure les arrières du couple. La sensation d'étouffement qui devrait tomber sur la tête du trompé est pathologique chez de nombreux trompeurs...
Alors qu'il est prouvé, par la bouche même de ceux qui les défendent que "cépatafote" !