par jaguarboy » lun. 27 août 2018 11:12
Tout cela commence à ne plus être jeune pour moi, mais les souvenirs sont là. De plus, et parfois, je le déplore, je suis équipé d'une excellente mémoire.
Tout d'abord, peu après notre mariage ( quelques semaines ), des coups de fils à son ex d'une durée de deux à trois secondes. A l'époque, j'avais la facturation détaillée... Curieux. Je bossais, mais pas elle. Allez savoir !
La naissance de ma première fille a été un motif d'éloignement, mais pas au bénéfice de l'enfant. Non, pour le boulot. La seconde naissance a amplifié les choses. Ainsi est arrivé la scission : 3 + 1
En 2001, ce n'est pas l'odyssée de l'espace, mais la révélation : je suis en déplacement en Alsace pour vider l'appartement de ma belle mère et rapatrier des affaire sur Paris avant la vente immobilière. A l'époque, nous n'avions qu'un seul téléphone portable ( il devait faire deux kilos ! ) et je le prends, des fois que... Quelle ne fut pas ma surprise de trouver un SMS "Nicolas, je suis impatiente de te revoir, à vendredi comme convenu". Nous sommes... vendredi après midi. Coup de fil... Évidemment, ça nie, ça s'énerve... Je suis à cinq cent bornes. Elle devait laisser les enfants chez sa mère qui servait de couverture. A priori, ils ne se sont pas vu... cette fois ci. Mais ce fut un virage. J'ai commencé à tourner la tête dans d'autres directions : sport, musique, connaissances supplémentaires, mais je reste sage.
En aout 2003, madame est à Nantes pour études pendant un an, elle rentre que certains week-end. Elle revient enceinte de son ex-boss, se fait évidement avorter, tentant de me faire croire que le cadeau est de moi ! Ben voyons.
Plus vraiment de doute... mais nous poursuivrons jusqu'au premier janvier 2001 ou elle m'avoue avoir une relation suivie avec un sous préfet de 22 ans son ainé. Amoureuse comme un ado ! Le vase a débordé à ce moment là.
Voici, dans les grandes lignes, comment ça s'est goupillé. Lorsque le vase a débordé, je me suis aperçu qu'il y en avait une tripoté d'autres ! Un vrai bottin !!!
On ne peux pas dire que je fus réactif ! Après un passage par le noir le plus complet, le gris foncé devenant de plus en plus clair, le ciel est redevenu bleu !
Tout cela commence à ne plus être jeune pour moi, mais les souvenirs sont là. De plus, et parfois, je le déplore, je suis équipé d'une excellente mémoire.
Tout d'abord, peu après notre mariage ( quelques semaines ), des coups de fils à son ex d'une durée de deux à trois secondes. A l'époque, j'avais la facturation détaillée... Curieux. Je bossais, mais pas elle. Allez savoir !
La naissance de ma première fille a été un motif d'éloignement, mais pas au bénéfice de l'enfant. Non, pour le boulot. La seconde naissance a amplifié les choses. Ainsi est arrivé la scission : 3 + 1
En 2001, ce n'est pas l'odyssée de l'espace, mais la révélation : je suis en déplacement en Alsace pour vider l'appartement de ma belle mère et rapatrier des affaire sur Paris avant la vente immobilière. A l'époque, nous n'avions qu'un seul téléphone portable ( il devait faire deux kilos ! ) et je le prends, des fois que... Quelle ne fut pas ma surprise de trouver un SMS "Nicolas, je suis impatiente de te revoir, à vendredi comme convenu". Nous sommes... vendredi après midi. Coup de fil... Évidemment, ça nie, ça s'énerve... Je suis à cinq cent bornes. Elle devait laisser les enfants chez sa mère qui servait de couverture. A priori, ils ne se sont pas vu... cette fois ci. Mais ce fut un virage. J'ai commencé à tourner la tête dans d'autres directions : sport, musique, connaissances supplémentaires, mais je reste sage.
En aout 2003, madame est à Nantes pour études pendant un an, elle rentre que certains week-end. Elle revient enceinte de son ex-boss, se fait évidement avorter, tentant de me faire croire que le cadeau est de moi ! Ben voyons.
Plus vraiment de doute... mais nous poursuivrons jusqu'au premier janvier 2001 ou elle m'avoue avoir une relation suivie avec un sous préfet de 22 ans son ainé. Amoureuse comme un ado ! Le vase a débordé à ce moment là.
Voici, dans les grandes lignes, comment ça s'est goupillé. Lorsque le vase a débordé, je me suis aperçu qu'il y en avait une tripoté d'autres ! Un vrai bottin !!!
On ne peux pas dire que je fus réactif ! Après un passage par le noir le plus complet, le gris foncé devenant de plus en plus clair, le ciel est redevenu bleu !