par Eugene » mer. 27 avr. 2016 15:00
Alors que la légende urbaine prétend que 10% des papas élèveraient un enfant qui n'est pas le leur, une récente étude prouve que c'est finalement 1%. Un chiffre qui concerne toutes les cultures depuis de très nombreuses années.
Combien de pères de famille élèvent, sans le savoir, un enfant qui n’est pas génétiquement le leur ? Une étude belge parue dans la revue Trends in Ecology & Evolution s’est penchée sur la question. Et sa conclusion est pour le moins rassurante : depuis des siècles, et dans une majorité de cultures, un père sur cent (seulement) élèverait un enfant qui n’est pas le sien.
Pour en arriver à ces conclusions, le groupe de chercheurs de l’Université catholique de Louvain (Belgique) a étudié les variations familiales du chromosome Y au sein de plusieurs ethnies à ravers le monde et à travers les siècles. Chez les Dogons du Mali, 1,8 % des pères élèvent un enfant qui n’est pas le leur. Dans la région qui forme aujourd’hui le nord de l’Italie, ils sont 1,2% à élever l’enfant d’un autre, un chiffre qui n’a pas changé depuis près de 400 ans. Les statistiques sont pour ainsi dire les mêmes partout : les Flamands, les Afrikaners, les Catalans... présentent ainsi une proportion stabilisée aux alentours d’1% d’hotmmes trompés, élevant un enfant qui n’est génétiquement pas le leur.
Cette étude remet en cause une grande partie de travaux récents, souvent basés uniquement sur l’étude des résultats de tests de paternité. L’idée que de nombreux pères de famille ne sont pas les géniteurs de leurs enfants n’est finalement qu’une « légende urbaine des plus communes », conclu l’étude.
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Alors que la légende urbaine prétend que 10% des papas élèveraient un enfant qui n'est pas le leur, une récente étude prouve que c'est finalement 1%. Un chiffre qui concerne toutes les cultures depuis de très nombreuses années.
Combien de pères de famille élèvent, sans le savoir, un enfant qui n’est pas génétiquement le leur ? Une étude belge parue dans la revue Trends in Ecology & Evolution s’est penchée sur la question. Et sa conclusion est pour le moins rassurante : depuis des siècles, et dans une majorité de cultures, un père sur cent (seulement) élèverait un enfant qui n’est pas le sien.
Pour en arriver à ces conclusions, le groupe de chercheurs de l’Université catholique de Louvain (Belgique) a étudié les variations familiales du chromosome Y au sein de plusieurs ethnies à ravers le monde et à travers les siècles. Chez les Dogons du Mali, 1,8 % des pères élèvent un enfant qui n’est pas le leur. Dans la région qui forme aujourd’hui le nord de l’Italie, ils sont 1,2% à élever l’enfant d’un autre, un chiffre qui n’a pas changé depuis près de 400 ans. Les statistiques sont pour ainsi dire les mêmes partout : les Flamands, les Afrikaners, les Catalans... présentent ainsi une proportion stabilisée aux alentours d’1% d’hotmmes trompés, élevant un enfant qui n’est génétiquement pas le leur.
Cette étude remet en cause une grande partie de travaux récents, souvent basés uniquement sur l’étude des résultats de tests de paternité. L’idée que de nombreux pères de famille ne sont pas les géniteurs de leurs enfants n’est finalement qu’une « légende urbaine des plus communes », conclu l’étude.
[url=https://www.laliberte.ch/news/premiers-couples-et-infidelites-342163]Source[/url]