J'ai particulièrement apprécié cet article.
Lorsque l’amour platonique est vécu comme une contrainte, le partenaire insatisfait peut chercher à combler ses besoins charnels ailleurs que dans le couple.
C'est étrange...
Je "découvre" que j'ai été contraint. Presque 15 ans.
- Crise des trois ans : madame a plus envie
- Arrivée du premier : focale sur le petit, madame est fatiguée
- Vacances dans un 5 étoiles de rêve une semaine en amoureux : madame court toujours après... J'ai jamais compris quoi. On n'a quasiment rien fait.
- Entre temps : gestion d'une mamie lourde, gestion des enfants, gestion de la maisonnée, gestion de ses frustrations, gestion des vacances (les amis, ça compte, les paysages sont merveilleux... Le sexe... Bah... Quand on aura le temps. On a jamais trop eu le temps.)
- Au bout d'une certaine temporalité conjugale : pseudo équilibre trouvé... C'était de telle heure à telle heure, et pas d'autres jours que ceux imposés (bonjour la fantaisie...) Si on ratait le train pour une raison ou pour une autre. Ben, c'était raté. Voilà.
J'apprends donc, médusé, grâce à cet article, qu'après une longue carrière de mec fidèle... C'est MOI qui aurait dû la tromper et lui dire : "Cétafote", tu me donnes pas assez de sexe, d'attention, tu m'écoutes pas (je confirme, elle m'écoutait pas.), etc...
Entre temps (bis) deux sandwichs (connus) dont l'un se prétendait un Dieu de la baise mais elle y était pas allée "pour le sexe". Noooooon
La dernière belle connerie en date (juste avant la découverte) : "Me fais pas chier, je préfère des relations où on prend le temps plutôt que des coups comme ça..."
On devait ne pas pouvoir le faire pendant quinze jours et le calendrier était difficile... Le plus drôle, c'est qu'elle se donnait à un sandwich qui bandait très moyennement... Entre deux portes, à la va vite.
Entre temps (ter), je me suis prouvé que tout ça était une bien belle connerie, le résultat d'un mauvais câblage.
Elle a cherché toute sa vie où étaient ses terminaisons nerveuses (et émotionnelles par ailleurs) et comme nous avons partagé 15 ans de vie commune, le coupable était tout trouvé.
Mais en la matière, le nombre ne faisant pas la qualité, hem, hem...
Le mec sensuel que je suis a finalement été maltraité AUSSI sur ce plan là.
Une dame avec beaucoup d'allure, danseuse, bien dans son corps et dans sa tête me disait qu'elle était vivante et qu'elle n'avait de cesse de demander à son mari d'aller consulter étant donné qu'elle avait des besoins.
Trois ans qu'elle insistait avec son "paresseux sexuel". Je lui ai dit qu'il aurait fallu que je réagisse comme elle. Le problème, au final, ne venait pas de moi... Elle m'a souri.
J'ai particulièrement apprécié cet article.
[quote]Lorsque l’amour platonique est vécu comme une contrainte, le partenaire insatisfait peut chercher à combler ses besoins charnels ailleurs que dans le couple. [/quote]
C'est étrange...
Je "découvre" que j'ai été contraint. Presque 15 ans. :kelkon:
- Crise des trois ans : madame a plus envie
- Arrivée du premier : focale sur le petit, madame est fatiguée
- Vacances dans un 5 étoiles de rêve une semaine en amoureux : madame court toujours après... J'ai jamais compris quoi. On n'a quasiment rien fait.
- Entre temps : gestion d'une mamie lourde, gestion des enfants, gestion de la maisonnée, gestion de ses frustrations, gestion des vacances (les amis, ça compte, les paysages sont merveilleux... Le sexe... Bah... Quand on aura le temps. On a jamais trop eu le temps.)
- Au bout d'une certaine temporalité conjugale : pseudo équilibre trouvé... C'était de telle heure à telle heure, et pas d'autres jours que ceux imposés (bonjour la fantaisie...) Si on ratait le train pour une raison ou pour une autre. Ben, c'était raté. Voilà.
J'apprends donc, médusé, grâce à cet article, qu'après une longue carrière de mec fidèle... C'est MOI qui aurait dû la tromper et lui dire : "Cétafote", tu me donnes pas assez de sexe, d'attention, tu m'écoutes pas (je confirme, elle m'écoutait pas.), etc... :cocu:
Entre temps (bis) deux sandwichs (connus) dont l'un se prétendait un Dieu de la baise mais elle y était pas allée "pour le sexe". Noooooon :Q:
La dernière belle connerie en date (juste avant la découverte) : "Me fais pas chier, je préfère des relations où on prend le temps plutôt que des coups comme ça..."
On devait ne pas pouvoir le faire pendant quinze jours et le calendrier était difficile... Le plus drôle, c'est qu'elle se donnait à un sandwich qui bandait très moyennement... Entre deux portes, à la va vite. :bonk:
Entre temps (ter), je me suis prouvé que tout ça était une bien belle connerie, le résultat d'un mauvais câblage.
Elle a cherché toute sa vie où étaient ses terminaisons nerveuses (et émotionnelles par ailleurs) et comme nous avons partagé 15 ans de vie commune, le coupable était tout trouvé.
Mais en la matière, le nombre ne faisant pas la qualité, hem, hem...
Le mec sensuel que je suis a finalement été maltraité AUSSI sur ce plan là.
:mdr
Une dame avec beaucoup d'allure, danseuse, bien dans son corps et dans sa tête me disait qu'elle était vivante et qu'elle n'avait de cesse de demander à son mari d'aller consulter étant donné qu'elle avait des besoins.
Trois ans qu'elle insistait avec son "paresseux sexuel". Je lui ai dit qu'il aurait fallu que je réagisse comme elle. Le problème, au final, ne venait pas de moi... Elle m'a souri.