SOS cocu

Ricochette a écrit :

Adèle a écrit :un moment donné il faut faire du ménage. Histoire de repartir sur d'autres bases.

Ménage de printemps
De la place dans les armoires
Pour loger les documents
De la prochaine histoire.

Je n'ai plus à me poser cette question :' je garde ou pas ? 'Le ménage de printemps' quelqu'un l'a fait à ma place. Le dossier est vide ! Personne n'en connaissait l'existence, et pourtant !
J'ai bien des soupçons mais pas de preuves, alors...

'Faut-il pleurer, faut-il en rire...

Je n'ai pas le cœur à le dire'

Inconnu, vas-tu longtemps subir sans ne rien dire?
Vas-tu longtemps endurer sans te révolter?
Encore un coup de semonce qui t'a été porté.
Tes limites, déjà mises à rude épreuve et jamais trop digérées, ont encore été repoussées. Un test d'endurance que l'on te fait passer dans la plus grande discrétion? C'est révoltant.

'Patience et longueur de temps, font plus que force ni que rage' ...

Plus vite tu auras le verdict mieux tu t'en porteras. Active ton enquête mais ne subis plus sans broncher.
Comme quoi, la reconstruction du couple est fragile et ardue.

Je ne subis pas, j'attends et j'observe tel un félin avant de fondre sur sa proie !

Espérons que le félin ne se fonde pas dans la nature avec ton petit dossier en te laissant sur ta faim...

Oui espérons !

Comme les histoires de félins me connaissent, je préfère ce truculent dialogue made in Audiard dans " faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages" :

- J'ai bon caractère mais j'ai le glaive vengeur et le bras séculier. L'aigle va fondre sur la vieille buse.
- C'est chouette ça, comme métaphore.
- C'est pas une métaphore, c'est une périphrase.
- Oh fait pas chier !
- Ça, c'est une métaphore.

Maxime Leforestier - Les coups

Les coups de fils, les coups de chaleur
Les coups de folies, les coups de cœur
Les coups qu'on paye ceux qu'on boit
Les coups de règles sur les doigts

Coups de poker, de bols, de banque
Ceux qu'on tire et ceux qu'on vend
Ça s 'efface d'un coup de balai
Mais le coup que tu m'as fais ça
Je l'oublierai jamais

Coups du père François, coups d'arnaque
Coups du berger, coups de jarnaque
Coups de bambous, coup fourrés
Coups d'épingles sur les poupées

Coups de genoux, coups de tatane
De poings, de coudes, de pieds, de lames
Tous ces coups là je les connais
Mais le coup que tu m'as fais ça
Je l'oublierai jamais

C'est sur a coup de dé
Un coup de tête, sur un coup de magie baguette
Qui t'a pris de me faire ce coup ci

On fini jamais d'apprendre
Mais les coups a prendre
C'est pas ça qui manque ici

Douze à minuit
Quatre cent dans la fête
Trois au théâtre
Un sur ma tête
Coup de boule, coup d'état, coup dure
Tous les coups sont dans la nature

Coup de soleil, de pic à glace
Coup d’œil acéré, coup de grâce
M'attend d'un coup tu as gagné
Et le coup que tu me fais ça
Je l'oublierai jamais

Je l'oublierai jamais

jaguarboy a écrit :Comme les histoires de félins me connaissent, je préfère ce truculent dialogue made in Audiard dans " faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages" :

- J'ai bon caractère mais j'ai le glaive vengeur et le bras séculier. L'aigle va fondre sur la vieille buse.
- C'est chouette ça, comme métaphore.
- C'est pas une métaphore, c'est une périphrase.
- Oh fait pas chier !
- Ça, c'est une métaphore.

Toujours d'Audiard dans les tontons flingueurs :

Alors? Y dors le gros con?... Bah y dormira encore mieux quand il aura pris ça dans la gueule! Il entendra chanter les anges le gugusse de Montauban... Je vais le renvoyer tout droit à la maison mère... Au terminus de prétentieux.

Ah ce Maxime Le Forestier :

Restons amants

Qu'un jour les choses le temps pas rose
Les événements nous imposent
La fin des sentiments
Qu'un jour se suivent les invectives
Les égarements la dérive
Chacun séparément

Quoi qu'il arrive restons amants
Restons amants des hôtels sombres
Des rendez-vous dissimulés
Où vont s'entrelacer les ombres
Aux dangers mélangées

Restons amants des plages vides
Où novembre aimait nous jeter
Laissons frémir aux vents avides
Les lèvres dérobées

Même si les gares si les regards
Indifféremment nous séparent
De plus en plus souvent
Même si se tiennent ta main la mienne
Pour la fin des temps que nos vies deviennent
Celles de tous les gens

Quoi qu'il advienne restons amants
Restons amants des impatiences
Des minutes qui sont comptées
Des trésors de ruse et de science
Pour se retrouver

Restons amants des corps à corps
Des peaux qui savent où se trouver
Laissons les coeurs qui battent encore
L'un à l'autre mêlés

La petite mort
L'éternité...

Intéressantes ces paroles qui tombent à pic
Le jour de la fête de la musique

inconnu a écrit :Alors? Y dors le gros con?... Bah y dormira encore mieux quand il aura pris ça dans la gueule! Il entendra chanter les anges le gugusse de Montauban... Je vais le renvoyer tout droit à la maison mère... Au terminus de prétentieux.

Alors que Blier trafique le moteur de la 404 de Ventura...

jaguarboy a écrit :inconnu a écrit:
Alors? Y dors le gros con?... Bah y dormira encore mieux quand il aura pris ça dans la gueule! Il entendra chanter les anges le gugusse de Montauban... Je vais le renvoyer tout droit à la maison mère... Au terminus de prétentieux.


Alors que Blier trafique le moteur de la 404 de Ventura...

On est cocu, mais nous ne perdons pas une occasion de nous fendre la gu... , enfin une fois digéré l'affront.

Je vois qu'il y a des Audiardphiles !

« Les ordres sont les suivants : on courtise, on séduit, on enlève et en cas d’urgence on épouse. » Les barbouzes

Ah Audiard c'était quelqu'un. Je 'regardais' ses films plus pour les dialogues que pour les images. Mais pour que se soit percutant il fallait quand même des pointures pour les répliques !