Bonjour à tous, un peu de news...
Personnellement j'ai fait mon "lâché prise", j'ai appris à me connaître et connaître l'autre au travers de cette histoire, des lectures, des séances psy (excellente à mon sens au passage), une nouvelle histoire est en devenir, si, nous y reviendrons plus tard, j'ai grandi. Je suis différent, moins dépendant, plus averti et pertinent, plus en attente...
Mes séances psy s'espacent, le travail continue, tout n'est pas aussi simple que mes écrits, mais j'apprécie ce que je suis devenu, ce qui me fait grandir, m'a capacité d'analyse, de compréhension et d'acceptation, mon empathie maintenant appropriée en relation avec la qualité de l'autre d'une façon générale et Mme en particulier.
J'apprécie ma capacité à geler toute empathie vis à vis de mon cher "ex pote, celui à la bistouquette vagabonde" pour asséner de façon froide, distante et organisée, ma vengeance. Il le sait, il le redoute, il m'a mis un doigt dans le cul, je lui en glisserai 5 et l'avant bras (pardon pour la vulgarité, ce sont mes propos rapportés tel que dispensés directement à son endroit). J'apprécie cette capacité nouvelle à ne plus être impulsif, à être calme et réfléchi... En tout point négatif, du positif...
Là où je suis en attente, c'est bien sur l'avancement de Mme.
Son comportement est simple, une forme d'oubli de sa part (illusoire) mais surtout attendu de la mienne afin que tout aille bien. Politique de l'autruche ?
Pour se déculpabiliser, il a fallut revenir à mon passé, mon errance d'il y a 6 ans pendant laquelle s'il y a bien tromperie dans le sens se tromper d'interlocuteur, d'objet de séduction pendant un bon mois durant lequel j'étais seul, pour une bonne cause, mais seul, il n'y aura pas organisation comme entendue par elle, d'une rencontre et surtout passage à l'acte. La morale, le respect et l'amour pour l'autre a, à cet instant et en conclusion de ce jeu de séduction, conclu définitivement l'instant, l'histoire.
Il faut donc que je sois aussi responsable qu'elle, que nos histoires soient en forte similitude. Ainsi MON aventure aura duré autant que la sienne (3 mois), nous avons organisé notre entrevue et il est parfaitement impossible qu'il ne se soit rien passé lors de notre soirée, des personnes adultes ayant finis d'enfiler des perles.
Ainsi le report de culpabilité posé par SON passage à l'acte n'est plus de sa faute et bien de mon irresponsabilité d'il y a 6 ans...
Facile, non ?
Bref son immaturité affective n'est pas réglée, je pense que sa psy l'a parfaitement décelé, je sais aussi qu'aujourd'hui Mme a peur d'avancer dans les vérités, dans sa vérité. J'attends.
Sa psy lors de leur dernier rdv lui a proposé, parce qu'à son sens utile, que nous nous rencontrions tous les 3, depuis bientôt un mois, Mme ne prend plus contact, réfute inconsciemment ce rdv au point que je crois qu'elle attend de voir ma réaction, mon comportement pour statuer. Si je ne dis plus rien, si je vais "bien", ne la ramène plus par des situations questions, états à cette aventure, à SON erreur, la vie ira bien comme ça...
Immature.
J'attends donc, que de sa propre initiative elle avance, grandisse, accepte que l'on entame un psy de couple.
Cette attente est conditionnée au fait également simple qu'il n'existe aucun contact avec le bonbon (terme que je préfère à sandwich), qu'elle est parfaitement orientée vers notre couple, notre famille.
Sauf que la vie peut se répéter, que sa lassitude, peut-être de milieu de vie, peut revenir dans 10 ans à l'amorce de la cinquantaine parce que non réglée, parce que pas comprise et acceptée, pas grandie. Alors avec un peu d'humour j'ai quelques années devant moi pour sentir et voir une évolution favorable à notre nouveau Nous.
Le soleil brille, l'été apaise...
Bonne journée à tous, prenez garde à vous.