Et dire qu'il y a encore des psy, philo, magazines pour poser la question "faut-il dire ou ne pas dire ?" C'est prendre le partenaire pour un jambon. (exception faite d'un faux pas d'une soirée. Là c'est structurel - oui parce que un accident qui s'étend sur plusieurs années, c'est plus un accident - et donc une donnée identitaire à prendre en compte pour un "amour véritable").
Le concept de "partenaire" n'a plus de sens en pareil cas (d'autant que l'omission on ne le répètera jamais assez est bien un refus de communiquer, or qu'est-ce que le couple sans la communication ? qui, de plus, donne un pouvoir à celui qui sait par rapport à celui qui ne sait pas).
Oui, je confirme, on connaît nos "moitiés", il y a tout un adulthème dédié à la question (cliquer ici)
Ce qu'on a plus de mal à comprendre, au-delà du sentiment diffus qui flotte dans l'air comme une odeur d'égout dans le couple rance, ce sont nos propres biais cognitifs qui transforment la réalité (dans un sens ou dans l'autre).
C'est pourquoi on finit toujours par savoir, mais on ne sait jamais à quel point...
Bon, au moins tu as la famille de ton coté. Tu dois passer pour le bon samaritain.