Exact, je ne l'avais jamais vu de la sorte mais c'est une réalité.jaguarboy a écrit : C'est surtout que l'esprit est orienté vers un but précis : survivre
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La vie d'une cocue après une rupture
Modérateur : Sans Prétention
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
Le rire c'est une poussière de joie qui fait éternuer le coeur.
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
Et dans certains cas bien précis, ceux qui ont maille à partir avec un PN, ne pas continuer à se faire rabaisser, ne pas les voir triomphant, se battre pour ne pas être achevé.
C'est ce qui m'a motivé.
J'avais entrepris une médiation familiale en février 2009, tentant de calmer le jeux. Ça ne pouvait pas donner grand chose avec une personne qui ne veux que la guerre, mais qui voulait aussi me laminer. Doucement, j'ai compris la manœuvre : on me demandait de partir en laissant mes filles, mon appart, pas mal de mes biens, de me trouver autre chose où crécher, et d'envoyer une pension alimentaire. Rien que ça.
En résumé, je laissais tout alors que c'est l'autre grosse ( censuré ) qui jouait double jeu depuis toujours.
Je ne me suis pas laissé faire. Mais que d'énergie déployée, et encore à ce jour car l'autre est verte de rage.
Tout cela occupe l'esprit. Pas le moment de se laisser aller.
C'est ce qui m'a motivé.
J'avais entrepris une médiation familiale en février 2009, tentant de calmer le jeux. Ça ne pouvait pas donner grand chose avec une personne qui ne veux que la guerre, mais qui voulait aussi me laminer. Doucement, j'ai compris la manœuvre : on me demandait de partir en laissant mes filles, mon appart, pas mal de mes biens, de me trouver autre chose où crécher, et d'envoyer une pension alimentaire. Rien que ça.
En résumé, je laissais tout alors que c'est l'autre grosse ( censuré ) qui jouait double jeu depuis toujours.
Je ne me suis pas laissé faire. Mais que d'énergie déployée, et encore à ce jour car l'autre est verte de rage.
Tout cela occupe l'esprit. Pas le moment de se laisser aller.
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
Ne pas se faire achever...il n'y a pas d'autres termes plus justes! C'est véritablement d'une volonté de mise à mort qu'il s'agit venant d'eux.jaguarboy a écrit :Et dans certains cas bien précis, ceux qui ont maille à partir avec un PN, ne pas continuer à se faire rabaisser, ne pas les voir triomphant, se battre pour ne pas être achevé.
En résumé, je laissais tout alors que c'est l'autre grosse ( censuré ) qui jouait double jeu depuis toujours. ....et encore à ce jour car l'autre est verte de rage.
Futur ex à même fait d'autres tentatives plus concrétes en trafiquant mon véhicule ou en distribuant des coups. Mais je suis encore là, je le dérange rien que par le fait de respirer. Alors le divorce risque d'être croustillant à souhait. Leur méchanceté sans limite motive pour la résistance.
Jaguar, c'est la première fois que tu te laisses aller à de tels écarts de langage, "l'autre grosse", "l'autre", elle doit vraiment te taper sur le système. Comme je te comprends!
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
En fait, il y a des colères salvatrices, qui nous permettent de nous en sortir quelque part.
Certaines fois, mieux vaut être très en colère, et faire face, que soumise et subir.
Mais, pourquoi certains (nes) en découvrant le cocufiage du conjoint(e), subient, en plus, leur animosité, leur méchanceté, voir leur vengeance ? C'est comme si c'était nous les coupables alors et que nous devons "payer" quelque chose, alors, qu'en fait, ILS (ELLES) ont créé la situation de rupture.
Non seulement nous avons la douleur de l'infidélité, mais, en plus, nous devons subir leurs vengeance. Mais, au fait, la vengeance de quoi ?
C'est là que je dis que ceux là sont des malades pathologiques.
Vous voyez, le mien n'a plus accès à moi (Merci La Police). Alors, il en est à taper ses textos frénétiquement devant moi. Agressions dans le silence, car, pourquoi venir au travail 3/4 d'heures avant son heure de prise de poste et se mettre là ou je passe, sinon pour me donner à voir ce triste spectacle. Il arriverait à son heure, il y aurait longtemps que j'aurais quitté l'usine et, donc, je ne le verrai pas. Non, quelque part, il continue à "jouer" avec moi. Je l'ai compris aujourd'hui, quand je suis arrivée à ma voiture et qu'il était, tout seul, en train de lire un courrier. Faut-il être fou ! (d'ailleurs c'est que je me suis dit). Moi, mon courrier, je ne le lis pas à haute voix, et encore moins dans un lieu de passage (enfin, de mon passage, comme par hasard).
Si j'avais fait cocu un homme dans ma vie, je lui aurait demandé "pardon" humblement et, puis, je l'aurais laissé vivre sa propre vie. Jamais je n'aurai eu dans l'idée de, en plus, le faire chier des mois durant. J'aurais fait profil bas.
Donc, on en revient toujours à la fameuse indifférence. Je le croise, là aussi, sans le regarder, sans le saluer, sans être la spectatrice de son propre théatre de boufon. Ne plus être sa chose, et encore moins dans son jeu de pervers manipulateur, après rupture.
Se battre et tenir bon ! Vous aussi, mes amis, vous devez tenir bon et regarder votre vie au-dessus de la silhouette de vos gros ou grosses c-----ds(ses). C'est dur, mais ensemble, on va y arriver.
Certaines fois, mieux vaut être très en colère, et faire face, que soumise et subir.
Mais, pourquoi certains (nes) en découvrant le cocufiage du conjoint(e), subient, en plus, leur animosité, leur méchanceté, voir leur vengeance ? C'est comme si c'était nous les coupables alors et que nous devons "payer" quelque chose, alors, qu'en fait, ILS (ELLES) ont créé la situation de rupture.
Non seulement nous avons la douleur de l'infidélité, mais, en plus, nous devons subir leurs vengeance. Mais, au fait, la vengeance de quoi ?
C'est là que je dis que ceux là sont des malades pathologiques.
Vous voyez, le mien n'a plus accès à moi (Merci La Police). Alors, il en est à taper ses textos frénétiquement devant moi. Agressions dans le silence, car, pourquoi venir au travail 3/4 d'heures avant son heure de prise de poste et se mettre là ou je passe, sinon pour me donner à voir ce triste spectacle. Il arriverait à son heure, il y aurait longtemps que j'aurais quitté l'usine et, donc, je ne le verrai pas. Non, quelque part, il continue à "jouer" avec moi. Je l'ai compris aujourd'hui, quand je suis arrivée à ma voiture et qu'il était, tout seul, en train de lire un courrier. Faut-il être fou ! (d'ailleurs c'est que je me suis dit). Moi, mon courrier, je ne le lis pas à haute voix, et encore moins dans un lieu de passage (enfin, de mon passage, comme par hasard).
Si j'avais fait cocu un homme dans ma vie, je lui aurait demandé "pardon" humblement et, puis, je l'aurais laissé vivre sa propre vie. Jamais je n'aurai eu dans l'idée de, en plus, le faire chier des mois durant. J'aurais fait profil bas.
Donc, on en revient toujours à la fameuse indifférence. Je le croise, là aussi, sans le regarder, sans le saluer, sans être la spectatrice de son propre théatre de boufon. Ne plus être sa chose, et encore moins dans son jeu de pervers manipulateur, après rupture.
Se battre et tenir bon ! Vous aussi, mes amis, vous devez tenir bon et regarder votre vie au-dessus de la silhouette de vos gros ou grosses c-----ds(ses). C'est dur, mais ensemble, on va y arriver.
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
La question qui tue!Lou a écrit :Non seulement nous avons la douleur de l'infidélité, mais, en plus, nous devons subir leurs vengeance. Mais, au fait, la vengeance de quoi ?
L'objet de toutes nos incompréhensions.
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
@ Ricochette : vrai, elle me tape sur le système... La rentrée est un moment clé dans la vie de nos têtes blondes, et les textos pleuvent pour que je la tienne au courant de chaque mouvement, le moindre pet de lapin...
Mais je peux vous dire que si c'était moi qui l'avait trompé, après avoir été crucifié trois fois, elle m'aurait rendu la vie totalement impossible.
Saleté de mariage !
J'aimerais le savoir, je n'ai pas la réponse à ce jour...Lou a écrit :Mais, pourquoi certains (nes) en découvrant le cocufiage du conjoint(e), subient, en plus, leur animosité, leur méchanceté, voir leur vengeance ? C'est comme si c'était nous les coupables alors et que nous devons "payer" quelque chose, alors, qu'en fait, ILS (ELLES) ont créé la situation de rupture.
Non seulement nous avons la douleur de l'infidélité, mais, en plus, nous devons subir leurs vengeance. Mais, au fait, la vengeance de quoi ?
Je confirme, c'est médical !Lou a écrit :C'est là que je dis que ceux là sont des malades pathologiques.
C'est comme cela que j'aurais réagis. La honte m'aurait submergé, j'aurais demandé pardon tous les jours à la famille que j'aurais détruite. Et là, bien au contraire, drapée dans son incommensurable égo, elle demande des comptes sur tout.Lou a écrit :Si j'avais fait cocu un homme dans ma vie, je lui aurait demandé "pardon" humblement et, puis, je l'aurais laissé vivre sa propre vie. Jamais je n'aurai eu dans l'idée de, en plus, le faire chier des mois durant. J'aurais fait profil bas.
Mais je peux vous dire que si c'était moi qui l'avait trompé, après avoir été crucifié trois fois, elle m'aurait rendu la vie totalement impossible.
Saleté de mariage !
Les 200 chevaux parqués sous le capot sont bien moins dangereux que l'âne derrière le volant.
Re: La vie d'une cocue après une rupture
Je crois que la réponse est : ce sont tout simplement des malades.
Nous ne sommes pas coupables de la situation qui nous a été imposée. Il faut en être convaincu(e).
Nous ne méritons aucune vengeance. Donc, le mal que nous avons d'eux, après la rupture ne doit se gérer (et ne mérite) que l'indifférence.
Courage, Ricochette. Laissons les se noyer dans leurs propres manigances.
Nous ne sommes pas coupables de la situation qui nous a été imposée. Il faut en être convaincu(e).
Nous ne méritons aucune vengeance. Donc, le mal que nous avons d'eux, après la rupture ne doit se gérer (et ne mérite) que l'indifférence.
Courage, Ricochette. Laissons les se noyer dans leurs propres manigances.
Re: La vie d'une cocue après une rupture
Jaguarboy,
Je suis une femme et ne ne peut imaginer qu'une femme puisse faire ça aussi. Mais, à te lire, je découvre ta douleur.
Alors, idem, sors toi de là. Ne donnes pas prise et vis ta vie. C'est le pire des réponses que nous puissions leurs donner.
Ne soyons pas complice de leur manipulation de malade qui se ressource de notre mal être.
Ce sont, tout simplement, que des vampirs.
Tu sais quoi ? souhaitons même à ces gros (grosses) manipulateurs(trices) d'être heureux (euses) sans nous. Bref, qu'ils (elle) nous oublient. Et, surtout, qu'on soit heureux sans eux (elles).
Basta ! comme diraient, les Corsent.
Je suis une femme et ne ne peut imaginer qu'une femme puisse faire ça aussi. Mais, à te lire, je découvre ta douleur.
Alors, idem, sors toi de là. Ne donnes pas prise et vis ta vie. C'est le pire des réponses que nous puissions leurs donner.
Ne soyons pas complice de leur manipulation de malade qui se ressource de notre mal être.
Ce sont, tout simplement, que des vampirs.
Tu sais quoi ? souhaitons même à ces gros (grosses) manipulateurs(trices) d'être heureux (euses) sans nous. Bref, qu'ils (elle) nous oublient. Et, surtout, qu'on soit heureux sans eux (elles).
Basta ! comme diraient, les Corsent.
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
@ lou,
Tkt, j'ai passé le gros de la tempête et le ciel s'éclaircit, il est même bleu azur si je ne prends pas en compte le boulet que j'ai trainé pendant 18 ans.
Ce qu'elle devient ? Peu m'importe. J'aimerais surtout qu'elle me fiche la paix.
Loin d'elle, je revis.
Tkt, j'ai passé le gros de la tempête et le ciel s'éclaircit, il est même bleu azur si je ne prends pas en compte le boulet que j'ai trainé pendant 18 ans.
Ce qu'elle devient ? Peu m'importe. J'aimerais surtout qu'elle me fiche la paix.
Loin d'elle, je revis.
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
La plus belle revanche que tu pouvais avoir sur elle.jaguarboy a écrit : Loin d'elle, je revis.
Mais surtout une très grande satisfaction pour toi.
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
Ils ont tellement vécu une autre vie, sans nous, mais tout en étant avec nous, qu'ils ont forcément de l'avance sur nous.
Alors, il suffit d'accélérer la vitesse pour les dépasser. Car, finalement, ils stagnent tellement dans leurs mensonges et la répétition de leurs actes, qu'ils font, finalement, quand on regarde bien, que du sur place !
A la prochaine que je croiserai avec lui, j'irai la voir pour lui serrer la main et lui dire "mes plus sincères condoléances pour votre vie à venir avec ce pauvre mec".
Alors, il suffit d'accélérer la vitesse pour les dépasser. Car, finalement, ils stagnent tellement dans leurs mensonges et la répétition de leurs actes, qu'ils font, finalement, quand on regarde bien, que du sur place !
A la prochaine que je croiserai avec lui, j'irai la voir pour lui serrer la main et lui dire "mes plus sincères condoléances pour votre vie à venir avec ce pauvre mec".
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
Lorsqu'elle est venue prendre des meubles, elle avait besoin de son "sandwich" pour conduire ( elle n'a pas le permis, mais me demande la jag !
) et pour porter. J'ai vu arriver un gus un peu mal dans ses baskets, mais qui faisait son possible pour ne pas afficher son envie de tourner les talons.
Lorsque nous avons chargé un meuble dans la fourgonnette, je lui ai dis : " cesser de vous sentir mal, vous me rendez un fier service : vous m'enlevez ce que je ne veux plus, quelqu'un qui s'est si bien fichu de moi et que je ne veux plus voir. C'est avec plaisir que je vous la donne car je n'en veux plus. "
Le mec a ouvert des yeux grands comme des soucoupes et n'a pas rétorqué !

Lorsque nous avons chargé un meuble dans la fourgonnette, je lui ai dis : " cesser de vous sentir mal, vous me rendez un fier service : vous m'enlevez ce que je ne veux plus, quelqu'un qui s'est si bien fichu de moi et que je ne veux plus voir. C'est avec plaisir que je vous la donne car je n'en veux plus. "
Le mec a ouvert des yeux grands comme des soucoupes et n'a pas rétorqué !

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Re: La vie d'une cocue après une rupture
Et moi, l'autre, je ne peux même pas la remercier car elle ne m'en débarrasse même pas, elle ne choisit que les morceaux qui l'intéresse.
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Re: La vie d'une cocue après une rupture
Ricochette,
Tu penses bien qu'il n'est pas que fou, et qu'il n'embarque pas le lot complet dans sa garçonnière normande. Le temps libre dont elle dispose est souvent occupé à me chercher noise.
Bien malheureusement...
Tu penses bien qu'il n'est pas que fou, et qu'il n'embarque pas le lot complet dans sa garçonnière normande. Le temps libre dont elle dispose est souvent occupé à me chercher noise.
Bien malheureusement...

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Re: La vie d'une cocue après une rupture
Toi Jaguar, tu n'as pas eu le choix, c'est le lot entier qu'il t'a fallu prendre.
Ca a l'air plus confortable pour la relève qui se permet de trier et de ne prendre que ce qui l'intéresse.
Elle est pire que les morpions!
Ca a l'air plus confortable pour la relève qui se permet de trier et de ne prendre que ce qui l'intéresse.
Elle est pire que les morpions!
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