Re: plus d'un an après, jai tjr mal ... que faire
Posté : lun. 10 sept. 2012 23:14
Lila,
Tu sais, ces hommes là, ne le disent jamais franchement. Le mien, jamais franchement. Juste des touchent qui font que.... Et, on s'adapte, parceque, comme toi, je n'aime pas les confrontations. Alors, je faisais avec, pour qu'il soit "rassuré". Et, finalement, on se travestit.
Grosses erreurs et faiblesses de ma part.
Pendant que lui, faisait comme si tous les mensonges lui étaient permis et qu'il était invulnérable. Juste qu'il était extrêment aimant quand il sentait que je lui échappais. Alors, oui, là, ils nous aiment, c'est sur, juste quand on leur échappe. A 46 ans,j'ai eu droit à : "je veux un enfant de toi". De quoi halluciner, n'est-ce pas ?". Parcequ'ils ne se voient même pas veillir eux-même, ils ont un tel abbu.
Le pire pour eux ? c'est de leur échapper. Il se demande si c'est pas nous, les puts (parcequ'on les quitte ou qu'on prend de la distance), alors qu'ils ont été, quand même, puts avant nous (question de langue française : put ne se conjugue qu'au féminin, mais j'aimerai, moi, que ce mot, se conjugue aussi, au masculin).
Car, a quoi ont-ils servi pour ces filles ? Sinon à être leur put au masculin ?
Les femmes ne sont pas forcément des puts. Les hommes qui les baisent peuvent l'être. Question de vocabulaire.
Ils ont beau dire le contraire. Mais, c'est un fait. Chacun a son libre arbitre dans ce monde. Et, le tien, comme le mien, pouvait dire non !!!!!!! "Je ne serai pas "ta put". Et, pourtant, ils l'ont été : la put d'une fille !
Et, franchement, qui en voudrait à une fille d'avoir pris son pied avec un connard marié (ou comme si). C'est à celui ou celle qui est en couple qui doit décider de se coucher ou pas. Et, c'est bien à celui ou celle qui se couche à qui on doit dire "tu es une put" au féminin ou au masculin.
Le reste n'est que manipulation et perversité envers qui le subit.
Tu sais, ces hommes là, ne le disent jamais franchement. Le mien, jamais franchement. Juste des touchent qui font que.... Et, on s'adapte, parceque, comme toi, je n'aime pas les confrontations. Alors, je faisais avec, pour qu'il soit "rassuré". Et, finalement, on se travestit.
Grosses erreurs et faiblesses de ma part.
Pendant que lui, faisait comme si tous les mensonges lui étaient permis et qu'il était invulnérable. Juste qu'il était extrêment aimant quand il sentait que je lui échappais. Alors, oui, là, ils nous aiment, c'est sur, juste quand on leur échappe. A 46 ans,j'ai eu droit à : "je veux un enfant de toi". De quoi halluciner, n'est-ce pas ?". Parcequ'ils ne se voient même pas veillir eux-même, ils ont un tel abbu.
Le pire pour eux ? c'est de leur échapper. Il se demande si c'est pas nous, les puts (parcequ'on les quitte ou qu'on prend de la distance), alors qu'ils ont été, quand même, puts avant nous (question de langue française : put ne se conjugue qu'au féminin, mais j'aimerai, moi, que ce mot, se conjugue aussi, au masculin).
Car, a quoi ont-ils servi pour ces filles ? Sinon à être leur put au masculin ?
Les femmes ne sont pas forcément des puts. Les hommes qui les baisent peuvent l'être. Question de vocabulaire.
Ils ont beau dire le contraire. Mais, c'est un fait. Chacun a son libre arbitre dans ce monde. Et, le tien, comme le mien, pouvait dire non !!!!!!! "Je ne serai pas "ta put". Et, pourtant, ils l'ont été : la put d'une fille !
Et, franchement, qui en voudrait à une fille d'avoir pris son pied avec un connard marié (ou comme si). C'est à celui ou celle qui est en couple qui doit décider de se coucher ou pas. Et, c'est bien à celui ou celle qui se couche à qui on doit dire "tu es une put" au féminin ou au masculin.
Le reste n'est que manipulation et perversité envers qui le subit.