SOS cocu

Merci de tous vos messages, toutes vos réponses, ils sont plus que des mots, ce sont des pierres auxquelles s'accrocher quand on glisse, glisse sur la paroi lisse du néant...

On croit alors que la chute va être fatale, et puis une, puis deux, puis plusieurs, "Pierres espoir" et l'on s'accroche, se raccroche à elles, et l'on comprends que ces "pierres espoir" en plus de ralentir notre chute, nous permettent même de prendre appui pour doucement remonter, bien sur on dérape encore mais elles sont là....
Alors encore à tous un immense merci, si je ne suis pas totalement au fond aujourd'hui, c'est vraiment grâce à vous tous.
Continuons de poster de répondre même lorsque l'on va mieux, parce d'autres ont besoin de ces réponses, de ce soutien...
Encore merci........

Tu as raison, Barnabée! :P

Des mots pour soigner les maux...Un endroit où on peut poser les valises, sans crainte de jugements hâtifs et de regards inquisiteurs...
Pouvoir se lâcher, dire notre douleur, notre colère, notre révolte.nos craintes et nos fragilités.

Car c'est toujours difficile de faire part de ses difficultés et de son malaise dans son milieu famililal ou à ses ami(e)s.....j'ai bien vu les réactions "tièdes" de certains, la curiosité qui destabilise, quelquefois une espèce de joie malsaine à voir le malheur des autres, des réflexions idiotes qui ajoutent au mal.

Il m'est arrivé d'être invitée, et pour la première fois de ma vie, d'arriver "Seule" !....de me retrouver dans la peau de la femme abandonnée, séparée. Et j'ai bien vu que, par rapport à certains couples de mes connaissances, les femmes developpaient une certaine crainte à voir leur maris discuter avec moi!

Parler, oui....mais pas à n'importe qui !....à des personnes qui ont vécu ou vivent la trahison, la séparation...qui peuvent apporter leur témoignage, nous faire partager leur recul...savoir comment on évolue...

Alors, Merci à tous pour cette préciseuse entraide !

A travers les aléas et les malheurs,

on peut essayer de ressembler à ça :



Comme le disait Benguigui dans une vieille chanson :

'...les bras trop courts pour embrasser,
mais bien assez long pour cogner...'