5 ans de bonheur, 1 année de doutes, 5 mois de tristesses
Posté : jeu. 25 sept. 2014 19:49
Hello, bonsoir à tous,
Généralement sur le site pour commenter et donner une force à ceux qui publient (xav), j'ai aussi besoin de parler de ce qui me touche.
Avec un peu plus d'un quart de siècle, j'étais en couple avec la femme que j'aime (car oui toujours) depuis 5 ans, une fille géniale, drole, caline, proche des miens. J'ai jamais connu ça. Le top des femmes. Quand à la rentrée, las de certaines activités communes, elle s'est mise à un nouveau sport avec ses frères et sœurs. Jusque là tout allait bien. On avait déjà passé quelques crises pendant ces années (chômage, cachoteries sur le passé, des omissions) mais c'était toujours minimes.
Ayant longuement hésité à participer à ce nouveau sport, j'ai constaté assez rapidement au bout de quelques semaines des changements. Quelques discussions qui n'aboutissaient que sur un mal être ponctuel et temporaire, apparemment qui ne vaille pas le coup de m'inquiéter. Il y avait toujours de la tendresse, des mots doux, de l'amour et des calins. Puis c'est devenu une interdiction de venir sur ce nouveau lieu. Incompréhension, frustration, mais tout de même serein sachant sa famille à ses côtés. Car oui, les relations avec les beau frères/soeurs étaient top.
Les mois ont passé, même en habitant plus près, les distances se ressentaient, quelques remarques de mes proches, de ses copines, nos amis commun, idem lors de sorties en extérieures. Elle avait intégré un nouveau groupe de musique, donc une activité en moins avec moi. Début des problèmes car je ne l'ai jamais connu entichée sur un mobile et là il était de toutes les occasions, douches, toilettes etc.. Je me méfiais des membres de ce groupe car l'un d'eux était au sport avec elle également (père de famille, trentenaire, musicos).
Des fouilles, pas de réponses, des doutes car des familiarités avec ces inconnus, nos discussions, ça tournait en rond, et je lui expliquais le besoin pour notre couple d'être ensemble à partager nos passions. C'est ça qui a fait de nous des âmes sœurs, le sport, la musique, la bouffe, nos projets associatifs. D'un coup, plus rien. Les fêtes de fin d'année étaient mitigées, mais chaque période de vacances scolaires restaient plus propices à se retrouver. Ça restait pour autant assez flou, de la distance...Je commençais à perdre des kilos, ne plus dormir, faire des crises d'angoisses et frayeurs nocturnes. Elle aussi se décomposait à petit feu.
Janvier, février assez dure, des appels en nuit, des questions sans vraies réponses, une demande de break. Pas de Saint Valentin car sport de madame... Mais surtout le message d'une amie qui lui demandait si elle avait réglé le problème depuis Octobre sur le mec à qui elle pensait. J'avais identifié un suspect dans son portable, le prof de sport qui avait envoyé ses photos de vacances. Vu l'âge, ça pouvait coller, et coller à toutes ses nouvelles préoccupations de religions etc... je commençais à comprendre.
Je ne voulais pas lâcher, j'insistais, essayer de la convaincre, le break avait sauté, puis avril son besoin de vacances, de faire le vide, faire le point, un énième break. Pourtant, à ce moment tout redevenait génial, elle m'expliquait vouloir arranger les choses, et me proposait de venir. Je ne pouvais pas avec mes nouvelles fonctions... je l'encourageais à souffler avec ses copines. Elle m'aimait là.
A son retour j'ai compris qu'elle avait menti, et avec qui elle était parti. J'étais dévasté. Elle aussi. Elle avait probablement craqué. J'étais éffondré, je pardonnais, mais de son coté, elle ne coupait pas les ponts avec cet univers qui détruisait tout. Un break encore. Puis la rupture avant un point en septembre. Ce même jour, par mégarde, le téléphone dans les toilettes je tombe sur l'évidence, tout bascule, pleures, cris, déchirements...mais après mon départ c'est auprès de lui qu'elle s'est réfugiée, et c'est lui qui m'a raconté leurs rapprochements, forcé de constater que depuis des mois je ne voulais rien lâcher (je l'avais contacté et même rencontré, mais il niait).
Ma famille s'en est mêlée, par vengeance j'en ai parlé à tous nos amis, ses amis de sports, ses bonnes collègues. Un soulagement minime quand j'ai saisi que ça allait me fermer les portes de son coeur pour de bon. J'ai sorti les rames tout l'été jusqu'à encore en septembre recevoir une demande de son nouveau pour le bien de sa "femme"... Elle m'a dit m'aimer, regretter, mais ne pouvant revenir vis à vis de ma famille avec qui je suis proche... moi je suis juste dégoûtée qu'elle me dise cela en restant tout de même avec cet individu. Tout est une question de choix dans la vie,pas de facilité ou complexité. Il me demande de prendre des distances pour qu'elle aille mieux, alors que tout cette année, il avait l'occasion de se faire petit et éviter que mon ex compagne soit dans des tracas moraux qui la fasse souffrir. L’église qui se moque de la charitée !
Bref, j'aime une femme, elle n'est plus là, je voudrais la récupérer, bien que ma morale me dicte le contraire. Je sais qu'elle m'aime encore,mais peut être plus assez. Insomnie, perte de poids et tristesse. J'essaye de m'y faire, mais je ne fais que rever d'elle dans un univers d'amour. Pas de haine... que de la peine, et l'envie de l'avoir dans mes bras
Généralement sur le site pour commenter et donner une force à ceux qui publient (xav), j'ai aussi besoin de parler de ce qui me touche.
Avec un peu plus d'un quart de siècle, j'étais en couple avec la femme que j'aime (car oui toujours) depuis 5 ans, une fille géniale, drole, caline, proche des miens. J'ai jamais connu ça. Le top des femmes. Quand à la rentrée, las de certaines activités communes, elle s'est mise à un nouveau sport avec ses frères et sœurs. Jusque là tout allait bien. On avait déjà passé quelques crises pendant ces années (chômage, cachoteries sur le passé, des omissions) mais c'était toujours minimes.
Ayant longuement hésité à participer à ce nouveau sport, j'ai constaté assez rapidement au bout de quelques semaines des changements. Quelques discussions qui n'aboutissaient que sur un mal être ponctuel et temporaire, apparemment qui ne vaille pas le coup de m'inquiéter. Il y avait toujours de la tendresse, des mots doux, de l'amour et des calins. Puis c'est devenu une interdiction de venir sur ce nouveau lieu. Incompréhension, frustration, mais tout de même serein sachant sa famille à ses côtés. Car oui, les relations avec les beau frères/soeurs étaient top.
Les mois ont passé, même en habitant plus près, les distances se ressentaient, quelques remarques de mes proches, de ses copines, nos amis commun, idem lors de sorties en extérieures. Elle avait intégré un nouveau groupe de musique, donc une activité en moins avec moi. Début des problèmes car je ne l'ai jamais connu entichée sur un mobile et là il était de toutes les occasions, douches, toilettes etc.. Je me méfiais des membres de ce groupe car l'un d'eux était au sport avec elle également (père de famille, trentenaire, musicos).
Des fouilles, pas de réponses, des doutes car des familiarités avec ces inconnus, nos discussions, ça tournait en rond, et je lui expliquais le besoin pour notre couple d'être ensemble à partager nos passions. C'est ça qui a fait de nous des âmes sœurs, le sport, la musique, la bouffe, nos projets associatifs. D'un coup, plus rien. Les fêtes de fin d'année étaient mitigées, mais chaque période de vacances scolaires restaient plus propices à se retrouver. Ça restait pour autant assez flou, de la distance...Je commençais à perdre des kilos, ne plus dormir, faire des crises d'angoisses et frayeurs nocturnes. Elle aussi se décomposait à petit feu.
Janvier, février assez dure, des appels en nuit, des questions sans vraies réponses, une demande de break. Pas de Saint Valentin car sport de madame... Mais surtout le message d'une amie qui lui demandait si elle avait réglé le problème depuis Octobre sur le mec à qui elle pensait. J'avais identifié un suspect dans son portable, le prof de sport qui avait envoyé ses photos de vacances. Vu l'âge, ça pouvait coller, et coller à toutes ses nouvelles préoccupations de religions etc... je commençais à comprendre.
Je ne voulais pas lâcher, j'insistais, essayer de la convaincre, le break avait sauté, puis avril son besoin de vacances, de faire le vide, faire le point, un énième break. Pourtant, à ce moment tout redevenait génial, elle m'expliquait vouloir arranger les choses, et me proposait de venir. Je ne pouvais pas avec mes nouvelles fonctions... je l'encourageais à souffler avec ses copines. Elle m'aimait là.
A son retour j'ai compris qu'elle avait menti, et avec qui elle était parti. J'étais dévasté. Elle aussi. Elle avait probablement craqué. J'étais éffondré, je pardonnais, mais de son coté, elle ne coupait pas les ponts avec cet univers qui détruisait tout. Un break encore. Puis la rupture avant un point en septembre. Ce même jour, par mégarde, le téléphone dans les toilettes je tombe sur l'évidence, tout bascule, pleures, cris, déchirements...mais après mon départ c'est auprès de lui qu'elle s'est réfugiée, et c'est lui qui m'a raconté leurs rapprochements, forcé de constater que depuis des mois je ne voulais rien lâcher (je l'avais contacté et même rencontré, mais il niait).
Ma famille s'en est mêlée, par vengeance j'en ai parlé à tous nos amis, ses amis de sports, ses bonnes collègues. Un soulagement minime quand j'ai saisi que ça allait me fermer les portes de son coeur pour de bon. J'ai sorti les rames tout l'été jusqu'à encore en septembre recevoir une demande de son nouveau pour le bien de sa "femme"... Elle m'a dit m'aimer, regretter, mais ne pouvant revenir vis à vis de ma famille avec qui je suis proche... moi je suis juste dégoûtée qu'elle me dise cela en restant tout de même avec cet individu. Tout est une question de choix dans la vie,pas de facilité ou complexité. Il me demande de prendre des distances pour qu'elle aille mieux, alors que tout cette année, il avait l'occasion de se faire petit et éviter que mon ex compagne soit dans des tracas moraux qui la fasse souffrir. L’église qui se moque de la charitée !
Bref, j'aime une femme, elle n'est plus là, je voudrais la récupérer, bien que ma morale me dicte le contraire. Je sais qu'elle m'aime encore,mais peut être plus assez. Insomnie, perte de poids et tristesse. J'essaye de m'y faire, mais je ne fais que rever d'elle dans un univers d'amour. Pas de haine... que de la peine, et l'envie de l'avoir dans mes bras