Douleur aigue a écrit :Je suis restée et depuis que je sais "je suis mal baisse" je n'ai plus de plaisir à nos ébats
C'est triste.
Douleur aigue a écrit : et je simule et je mens pour acheter la paix sociale.
A chacun ses mensonges... Certains sont "pieux", d'autres s'en donnent l'apparence.
Douleur aigue a écrit : Je rêve de m'envoyer en l'air ailleurs avec confiance mais suis trop honnête pour me rendre disponible pour une autre histoire.
Ce ne serait pas forcément "une autre histoire". Ah... Je vois : profil "c".
J'ai été honnête. Elle m'a dit: je veux pas savoir. Elle sait pas.
Douleur aigue a écrit :Allez es je sacrifie ma vie de femme au bien être de mes enfants.
Je sacrifie plus rien.
Le sacrifice est une notion à étudier en profondeur. Qu'est-ce que ça veut dire se sacrifier ?
Pour quel Dieu ?
Douleur aigue a écrit :Je reste et je pleure en silence après chaque coït.
Moi je pleurais après chaque non coït avec une partenaire parcourue de peu de terminaisons nerveuses... Et affectives.
Une zone zéro gène à elle toute seule.
Une de celles qui a des difficultés dans son corps et dans sa tête mais capable de se coincer entre deux portes pour donner du sexe à du tout venant. Mais attention hein !!! C'était juste des périodes !!! Pfff...
Avant de rencontrer ma femme, pour ma part, je savais pas qu'il existait des hommes mal baisés. Putain de schémas sexistes !
Heureusement ma femme est une militante égalité des sexes... Sans elle, j'aurais pas su.
Prends courage D... Change ton pseudo déjà. Et reviens nous dire comment tu t'appelles maintenant...
Un truc qui sourit et qui chante, même dans la mélancolie.
Il existe pour chaque problème complexe une solution simple, directe et fausse (H.L. Mencken)