Les 10 bons cons seils qui aident pas à tonifier le couple
Posté : jeu. 26 mai 2016 19:37
Il FAUT aimer "l'autre" pour ce qu'il est
Si "l'autre" trompe, ment, trahit, "omet"... On ne sait pas QUI est "l'autre". On aime donc une image... Fausse.
On ne peut donc aimer l'autre pour ce qu'il est s'il ment sur sa nature profonde.
Et comme le trompeur ment...
"L'autre" ne nous appartient pas
Partant de là, le voilà prêt à récidiver, "l'autre".
Pourtant, "l'autre" oublie que nous non plus nous ne lui appartenons pas. "L'autre" nous oblige (par le mensonge, la manipulation) à rester dans une relation insatisfaisante et souvent synonyme de rationnement affectif.
C'est bien aux trompeurs qui souhaitent se gaver de beurre en gardant l'argent qu'il faudrait adresser cette belle maxime.
L'autre ne vous appartient pas.
Il faut être fidèle à soi-même
Le piège à con: le "cocu" est, par nature, fidèle à lui-même ET à son con joint. C'est un ensemble cohérent.
Le cocufieur (parfois pathologiquement) clivé, sommé d'être fidèle à lui-même, se voit contraint d'être fidèle à sa double nature avec les effets que l'on connait. Or, la "double nature" est parfois (souvent) à faire soigner.
On ne se rend pas compte alors que l'infidèle est fidèle, la plupart du temps, à ses pulsions (et donc uniquement à une partie de lui-même) ET infidèle au contrat passé avec le partenaire (qui, lui, souhaite une relation exclusive).
En d'autres termes, en se déclarant fidèle à lui-même mais pas à son partenaire, l'infidèle est infidèle à une partie de lui-même puisqu'il renonce au contrat amoureux qu'il a signé :
Pour être fidèle à soi quand on aime la chasse à cour, on a le devoir de se mettre sur les rangs des polyamoureux ou, dans une autre catégorie, libertins de tous poils, pour être cohérent et on fout la paix à ceux qui rêvent d'un amour romantique et exclusif (parce qu'ils n'appartiennent pas à "l'autre"). Chacun ses névroses.
Si être "fidèle à soi" signifie tromper et mentir, il est temps d'interroger le bienfondé d'un tel con seil.
L'infidélité rend le couple plus fort
Oui... Et l'acide sulfurique aide au transit intestinal.
L'infidélité aide à supporter la vie à deux
Lorsque l'on considère que le couple est Alcatraz, le mieux est encore de s'en évader. Définitivement.
A-t-on déjà vu un prisonnier creuser une galerie reliant sa cellule aux vertes prairies pour bouffer et dormir en tôle avec la possibilité d'être libre en journée ? C'est énergivore, ça a peu de sens, et c'est complètement con. On est libre ou on ne l'est pas.
Sortir et entrer dans le couple indéfiniment épuise nerveusement le partenaire. Et "l'évadé" finit par devenir le boulet de l'autre.
A moins que l'intérêt réel du jeu de cache-cache avec le con joint (considéré comme un maton) ne se trouve ailleurs... Le gite, le couvert... Et la "liberté" de faire cocu... Etrange... Une scène déjà vue...
Il ne faut jamais avouer son infidélité
Et quand le "partenaire" a placé un keylogger sur le PC coupable ou qu'il espionne sa moitié pour cause de comportements très tendancieux depuis la semaine dernière et qu'il possède LES preuves... en plus des qualificatifs de menteur et fourbe, le cocufieur se voit attribuer, en sus, pour cause de mensonge persistant, la palme de la manipulation.
"Faute avouée, faute à moitié pardonnée" dit-on.
En général, c'est "Faute à moitié avouée et y en a encore plein les placards"...
Il faut avoir un jardin secret
A condition de ne pas confondre jardin secret et terrain de chasse.
Courir le lièvre provoque des poussées de cornes dans l'enclos affectif. Et il faut parfois abattre (symboliquement) la bête pour qu'elle arrête de souffrir.
Ce qui ne se sait pas ne fait mal.
Deux restos de luxe avec votre maîtresse, c'est un resto et une baby-sitter en moins avec votre légitime.
Des "séminaires" séminaux à répétitions, c'est du liquide d'amour qui ne circule plus dans le couple.
Des sorties nocturnes trihebdomadaires, c'est autant d'abandon du foyer pour de futiles plaisirs qu'on ne donne pas à sa famille (ou au con joint encore amoureux et qui est en demande d''intimité)
De la légèreté vacancière avec un(e) autre, c'est de la lourdeur logistique en plus pour le con joint restant, qui, bien sûr, dans une logique à la con, se fatigue au point de devenir pas assez ci, pas assez ça...
Et tous cet investissement (hôtels, temps, restaurant, plaisirs - non - partagés...) parti dans "d'autres bourses" fait mal au couple qui se plaint de ne pas assez se retrouver.
Ainsi, contrairement à ce que dit l'adage, ce qui ne se sait pas fait quand même mal.
Mêmes effets que la fraude fiscale : des trous dans le budget, une incapacité à investir plus, des emmerdes pour les "petites gens" (dans le couple, on parle des enfants).
"Ce qui ne se sait pas" est la base du déséquilibre affectif qui s'installe durablement. Déséquilibre puisque, justement, l'un sait, l'autre non. Délit d'initié.
Et quand ce qui ne se sait pas finit par se savoir, parce que ça finit toujours par se savoir, ça fait très mal.
Cahuzac également pensait sa théorie fondée.
L'infidélité est naturelle.
C'est comme Dieu. On ne peut le prouver, ni faire la démonstration de l'inverse. Cependant, la violence aussi est naturelle. Doit-on pour autant laisser faire la nature (humaine) en toutes circonstances ?
Cette phrase creuse au fond ne justifie rien d'autre qu'elle-même.
On ne peut prouver l'aspect naturel de l'infidélité, on peut cependant exiger le choix. Lorsque celui-ci est clair, il ne fait pas mal (contrairement à ce qui ne se sait pas).
Tromper ne signifie pas ne plus aimer
Peut-être pas. Mais cela signifie ne plus avoir de passion pour l'autre. Car pendant l'état passionnel, les intrusions sont toujours mal vues.
L'état passionnel arrivant à terme, il est temps de passer à un amour plus mâture ou de questionner son couple. Aller voir ailleurs est la manière la plus imbécile de le faire.
Rechercher le "rush" à tout prix, et au détriment de l'autre, n'est-ce pas une fuite du véritable amour pour le feu (de paille) passionnel (qui s'est déplacé) ? Finalement, tromper est enlever quelque chose à l'amour initial. Pas ne plus aimer. Mais aimer moins, ou aimer mal.
Amour sans conscience n'est que ruine du coeur.
Tromper ne signifie pas ne plus aimer (bis)
Qu'y a-t-il (entre autres choses) dans l'amour ?
- Quelque chose d'indicible
- De la complicité
- De la confiance
- Du respect mutuel et du respect pour le contrat
- Du partage
- Une vérité
- Une certaine beauté
Quand on trompe (avec l'accord du partenaire, cela ne signifie pas tromper), on ment.
- Quelque chose d'indicible
- De la complicité
- De la confiance
- Du respect mutuel et du respect pour le contrat
- Du partage
- Une vérité
- Une certaine beauté
Quand on trompe, l'amant, la maîtresse, le sait, le légitime, non. De nouveaux liens se tissent et les problèmes sont résolus "à l'extérieur" du couple.
- Quelque chose d'indicible
- De la complicité
- De la confiance
- Du respect mutuel et du respect pour le contrat
- Du partage
- Une vérité
- Une certaine beauté
Quand on trompe, la confiance en soi, en l'autre est sérieusement mise à mal.
- Quelque chose d'indicible
- De la complicité
- De la confiance
- Du respect mutuel et du respect pour le contrat
- Du partage
- Une vérité
- Une certaine beauté
Quand on trompe, c'est qu'on a "oublié" de renégocier le contrat.
- Quelque chose d'indicible
- De la complicité
- De la confiance
- Du respect mutuel et du respect pour le contrat
- Du partage
- Une vérité
- Une certaine beauté
On trompe parce qu'on ne reçoit pas assez dans le couple (insatisfactions)... Et on donne... Ailleurs !
- Quelque chose d'indicible
- De la complicité
- De la confiance
- Du respect mutuel et du respect pour le contrat
- Du partage
- Une vérité
- Une certaine beauté
On trompe, l'autre se sent laid et pour le cocufieur qui prend conscience de ce qu'il a réellement fait, le couple est entaché durablement.
- Quelque chose d'indicible
- De la complicité
- De la confiance
- Du respect mutuel et du respect pour le contrat
- Du partage
- Une vérité
- Une certaine beauté
Que reste-t-il de l'amour quand on trompe ?
- Quelque chose d'indicible
Si "l'autre" trompe, ment, trahit, "omet"... On ne sait pas QUI est "l'autre". On aime donc une image... Fausse.
On ne peut donc aimer l'autre pour ce qu'il est s'il ment sur sa nature profonde.
Et comme le trompeur ment...
"L'autre" ne nous appartient pas
Partant de là, le voilà prêt à récidiver, "l'autre".
Pourtant, "l'autre" oublie que nous non plus nous ne lui appartenons pas. "L'autre" nous oblige (par le mensonge, la manipulation) à rester dans une relation insatisfaisante et souvent synonyme de rationnement affectif.
C'est bien aux trompeurs qui souhaitent se gaver de beurre en gardant l'argent qu'il faudrait adresser cette belle maxime.
L'autre ne vous appartient pas.
Il faut être fidèle à soi-même
Le piège à con: le "cocu" est, par nature, fidèle à lui-même ET à son con joint. C'est un ensemble cohérent.
Le cocufieur (parfois pathologiquement) clivé, sommé d'être fidèle à lui-même, se voit contraint d'être fidèle à sa double nature avec les effets que l'on connait. Or, la "double nature" est parfois (souvent) à faire soigner.
On ne se rend pas compte alors que l'infidèle est fidèle, la plupart du temps, à ses pulsions (et donc uniquement à une partie de lui-même) ET infidèle au contrat passé avec le partenaire (qui, lui, souhaite une relation exclusive).
En d'autres termes, en se déclarant fidèle à lui-même mais pas à son partenaire, l'infidèle est infidèle à une partie de lui-même puisqu'il renonce au contrat amoureux qu'il a signé :
Pour être fidèle à soi quand on aime la chasse à cour, on a le devoir de se mettre sur les rangs des polyamoureux ou, dans une autre catégorie, libertins de tous poils, pour être cohérent et on fout la paix à ceux qui rêvent d'un amour romantique et exclusif (parce qu'ils n'appartiennent pas à "l'autre"). Chacun ses névroses.
Si être "fidèle à soi" signifie tromper et mentir, il est temps d'interroger le bienfondé d'un tel con seil.
L'infidélité rend le couple plus fort
Oui... Et l'acide sulfurique aide au transit intestinal.
L'infidélité aide à supporter la vie à deux
Lorsque l'on considère que le couple est Alcatraz, le mieux est encore de s'en évader. Définitivement.
A-t-on déjà vu un prisonnier creuser une galerie reliant sa cellule aux vertes prairies pour bouffer et dormir en tôle avec la possibilité d'être libre en journée ? C'est énergivore, ça a peu de sens, et c'est complètement con. On est libre ou on ne l'est pas.
Sortir et entrer dans le couple indéfiniment épuise nerveusement le partenaire. Et "l'évadé" finit par devenir le boulet de l'autre.
A moins que l'intérêt réel du jeu de cache-cache avec le con joint (considéré comme un maton) ne se trouve ailleurs... Le gite, le couvert... Et la "liberté" de faire cocu... Etrange... Une scène déjà vue...
Il ne faut jamais avouer son infidélité
Et quand le "partenaire" a placé un keylogger sur le PC coupable ou qu'il espionne sa moitié pour cause de comportements très tendancieux depuis la semaine dernière et qu'il possède LES preuves... en plus des qualificatifs de menteur et fourbe, le cocufieur se voit attribuer, en sus, pour cause de mensonge persistant, la palme de la manipulation.
"Faute avouée, faute à moitié pardonnée" dit-on.
En général, c'est "Faute à moitié avouée et y en a encore plein les placards"...
Il faut avoir un jardin secret
A condition de ne pas confondre jardin secret et terrain de chasse.
Courir le lièvre provoque des poussées de cornes dans l'enclos affectif. Et il faut parfois abattre (symboliquement) la bête pour qu'elle arrête de souffrir.
Ce qui ne se sait pas ne fait mal.
Deux restos de luxe avec votre maîtresse, c'est un resto et une baby-sitter en moins avec votre légitime.
Des "séminaires" séminaux à répétitions, c'est du liquide d'amour qui ne circule plus dans le couple.
Des sorties nocturnes trihebdomadaires, c'est autant d'abandon du foyer pour de futiles plaisirs qu'on ne donne pas à sa famille (ou au con joint encore amoureux et qui est en demande d''intimité)
De la légèreté vacancière avec un(e) autre, c'est de la lourdeur logistique en plus pour le con joint restant, qui, bien sûr, dans une logique à la con, se fatigue au point de devenir pas assez ci, pas assez ça...
Et tous cet investissement (hôtels, temps, restaurant, plaisirs - non - partagés...) parti dans "d'autres bourses" fait mal au couple qui se plaint de ne pas assez se retrouver.
Ainsi, contrairement à ce que dit l'adage, ce qui ne se sait pas fait quand même mal.
Mêmes effets que la fraude fiscale : des trous dans le budget, une incapacité à investir plus, des emmerdes pour les "petites gens" (dans le couple, on parle des enfants).
"Ce qui ne se sait pas" est la base du déséquilibre affectif qui s'installe durablement. Déséquilibre puisque, justement, l'un sait, l'autre non. Délit d'initié.
Et quand ce qui ne se sait pas finit par se savoir, parce que ça finit toujours par se savoir, ça fait très mal.
Cahuzac également pensait sa théorie fondée.
L'infidélité est naturelle.
C'est comme Dieu. On ne peut le prouver, ni faire la démonstration de l'inverse. Cependant, la violence aussi est naturelle. Doit-on pour autant laisser faire la nature (humaine) en toutes circonstances ?
Cette phrase creuse au fond ne justifie rien d'autre qu'elle-même.
On ne peut prouver l'aspect naturel de l'infidélité, on peut cependant exiger le choix. Lorsque celui-ci est clair, il ne fait pas mal (contrairement à ce qui ne se sait pas).
Tromper ne signifie pas ne plus aimer
Peut-être pas. Mais cela signifie ne plus avoir de passion pour l'autre. Car pendant l'état passionnel, les intrusions sont toujours mal vues.
L'état passionnel arrivant à terme, il est temps de passer à un amour plus mâture ou de questionner son couple. Aller voir ailleurs est la manière la plus imbécile de le faire.
Rechercher le "rush" à tout prix, et au détriment de l'autre, n'est-ce pas une fuite du véritable amour pour le feu (de paille) passionnel (qui s'est déplacé) ? Finalement, tromper est enlever quelque chose à l'amour initial. Pas ne plus aimer. Mais aimer moins, ou aimer mal.
Amour sans conscience n'est que ruine du coeur.
Tromper ne signifie pas ne plus aimer (bis)
Qu'y a-t-il (entre autres choses) dans l'amour ?
- Quelque chose d'indicible
- De la complicité
- De la confiance
- Du respect mutuel et du respect pour le contrat
- Du partage
- Une vérité
- Une certaine beauté
Quand on trompe (avec l'accord du partenaire, cela ne signifie pas tromper), on ment.
- Quelque chose d'indicible
- De la complicité
- De la confiance
- Du respect mutuel et du respect pour le contrat
- Du partage
- Une vérité
- Une certaine beauté
Quand on trompe, l'amant, la maîtresse, le sait, le légitime, non. De nouveaux liens se tissent et les problèmes sont résolus "à l'extérieur" du couple.
- Quelque chose d'indicible
- De la complicité
- De la confiance
- Du respect mutuel et du respect pour le contrat
- Du partage
- Une vérité
- Une certaine beauté
Quand on trompe, la confiance en soi, en l'autre est sérieusement mise à mal.
- Quelque chose d'indicible
- De la complicité
- De la confiance
- Du respect mutuel et du respect pour le contrat
- Du partage
- Une vérité
- Une certaine beauté
Quand on trompe, c'est qu'on a "oublié" de renégocier le contrat.
- Quelque chose d'indicible
- De la complicité
- De la confiance
- Du respect mutuel et du respect pour le contrat
- Du partage
- Une vérité
- Une certaine beauté
On trompe parce qu'on ne reçoit pas assez dans le couple (insatisfactions)... Et on donne... Ailleurs !
- Quelque chose d'indicible
- De la complicité
- De la confiance
- Du respect mutuel et du respect pour le contrat
- Du partage
- Une vérité
- Une certaine beauté
On trompe, l'autre se sent laid et pour le cocufieur qui prend conscience de ce qu'il a réellement fait, le couple est entaché durablement.
- Quelque chose d'indicible
- De la complicité
- De la confiance
- Du respect mutuel et du respect pour le contrat
- Du partage
- Une vérité
- Une certaine beauté
Que reste-t-il de l'amour quand on trompe ?
- Quelque chose d'indicible