Lactus Bifidus a écrit : ↑lun. 6 sept. 2021 08:57
Hello Mitsou ! Marrant que tu aies encore le sentiment qu'elle te mente sur ces dates, après tout ce temps... J'imagine qu'avoir les preuves irréfutables, ça joue. Remarque, moi même devant les preuves irréfutables (conversations que je lui avais imprimées, stabilotées, et mises sous le nez) elle a déjà nié non pas des faits mais "l'interprétation que je pouvais en faire"...
Hello,
Sur la date du 6 septembre, aucun doute, j'avais mis deux mois, en son temps, à rassembler les preuves en avançant pas à pas en démontant les différentes scènes proposées en justifications des découvertes, jusqu'à l'aveu final.
Sur la date du 28 juillet, les éléments, justifications, accords de discours sont de la même veine que pour le 6 septembre, avec l'aveu de s'être vu, un trou de minimum 3 heures dans son emploi du temps et d'autres éléments subjectifs toutefois éloquents, mais aucune preuve factuelle du lieu du "crime", quoique s'étant vu la tromperie est actée, pas le passage à l'acte... D'une devise paternelle appuyée, ce qui ne peut être prouvé, n'a jamais existé, elle nie toujours l'évidence.
Ce qui ne change pas le fond des choses, tromperie, adultère consommé, il y a eu sauf qu'un esprit cartésien aime à combler les vides, celui-ci en est un et d'un fonctionnement personnel, dans le cadre d'une construction nouvelle, il ne devrait pas y avoir de sujets non éludés, voir ce qui s'est passé pourrait être si transparent qu'il en découlerait potentiellement une complicité renouvelée.
Ca reste fermement un point lié à son mode de fonctionnement de base acté sur la culpabilité, ce qui pourrait ternir son image doit être éludé.
C'est aussi là que je l'estime ne pas avoir grandi et saisi la chance de faire de cette erreur une force à notre re construction, la désirant comme oubliée, effacée, ce qui ne peut l'être, même si non chargée de ressentiments, de la personne trompée, tellement la destruction fût, et c'est valable pour nous tous qui échangeons ici, profonde. Comme un décès, ça ne s'oublie pas, ça devient un pendant de notre vécu.
Ma situation n'est pas celle de quelqu'un en mal être de cette histoire, je suis suffisamment aguerri, aidé des outils actuels, pour percevoir la quasi intégralité de l'aventure jusqu'à la teneur de bon nombres de leurs échanges, suffisamment aguerri à la connaître pour savoir que le déroulé de la journée du 28 juillet n'est pas celui qui m'est servi, pour avoir travaillé dessus.
Ma position eut été différente si nous n'avions pas optionné de poursuivre ensemble, ce point serait passé à la trappe avec le reste de la relation. Toutefois dans le cadre que nous avons choisi, l'un et l'autre, il m'est d'évidence que ne peut subsister un doute laissé chez l'un ou l'autre, que ces points doivent pourvoir être abordés, évoqués et éludés. Ce qui reste en travers du chemin sont les points non acceptés comme réalité et éludés à deux si besoin.