Je me sens bizarre...
Posté : dim. 2 juil. 2017 19:29
Bonjour bonsoir...
Je suis tombé sur ce forum il y a peu.
J'y ai lu quelques histoires dont une, celle de Emorej bien sordide, qui m'a bien foutu en PLS. Et qui m'a fait relativiser surtout que l’histoire que je vais raconter n'est pas aussi trash...
J'ai 25 piges. J'ai fait d'assez grosses études et je bosse dans un secteur assez prolifique. Au vu de mon passé, abandonné par ma mère alors que je portais encore des couches, garçon rejeté des autres garçons, des filles, et pas le préféré de la fratrie, j'estime avoir fait un exploit. Mais passons, passons au gratin. J'ai beaucoup d'ordures autour de moi, vous savez ce genre de pantins qui vous balancent des grands sourirent à s'en déchirer les zygomas et qui à la première occasion vous la range tout au fond à grands coup de lance-roquette. J'ai très peu de véritables amis, on pourrait les compter sur les doigts de la main....d'un Simpson
Ayant placé mes études, puis le boulot ainsi que le sport au dessus de tout depuis 3 ans, j'ai finit pas m'afficher quand même avec une demoiselle début de cette année...le feeling passe bien.
Je m'implique dans cette relation, je me sens même con à sourire pour des petites choses insignifiantes : un regard, un timbre de voix, un geste, un bisou... Je me sens fier de la voir sourire. Niveau pieu rien à dire, j'ai même droits à des beaux compliments.
Il y a trois semaines, on s'est retrouvés avec des groupes d'amis lors d'une fête chez un de mes bien rares amis. Elle y rencontrera un gars. Je n'y prête pas attention sur le moment. Je passe la soirée avec quelques autres hommes et femmes histoire de faire connaissance tout simplement, imprimer des prénom sur ces nouvelles gueules, glisser un compliment ou deux gratoche quand la fille est jolie mais sans aucune arrière pensée.
La semaine suivante, rebelote, une fiesta chez un de ses amis à elle. Mon ami de confiance y sera, pas moi, je serais pris par le taff. Le lendemain il m’appelle tout paniqué et me dit que ma demoiselle avait fait la con avec le fameux gars qu'elle a rencontré la semaine dernière. Je ne l'ai pas cru jusqu'à ce qu'il me montre une photo qu'il avait pris discretos des deux protagonistes en train de s'embrasser bien comme il fallait façon ramonage de cheminée. Et les choses ne se sont pas arrêtées là. Ca a fini au pieu pour une partie de scrable. BAISEEE 7 lettres pan dedans
Ni une ni deux, je l’appelle en lui disant que c'était fini. Super, la voilà qui vient me chialer sur les baskets en faisant sa chouineuse que je m'en serai bien passé. Pourtant je lui ai dit : tu préfères un autre gars, vas-y je te retiendrai pas t'as fait ton choix.
Je coupe tout : facebook, tweeter, sms téléphone disparaissent en deux deux. Je me renferme, je ne sors plus, un seul cap le taff et le sport. Mon ami de confiance me relate ces scènes où mademoiselle chiale tout ce qu'elle peut qu'elle regrette et je sais pas quelles autres conneries
J'en viens à mon problème : je ne ressens que dalle, ni haine ni jalousie, ni rien du tout, et le fait que c'était ma première copine depuis des lustres ne m'affecte pas plus que ça.
Et voilà ca repart...
Tout n'est pas blanc, tout n'est pas noir
Seulement d'un gris à dégueuler
Je ne ressens rien si ce n'est qu'une profonde lassitude
Je n'ai que 25 ans mais j'ai l'impression d'en avoir 50
J'ai l'impression que ça va être comme ça, des arrangements des compromis à la con jusqu'au cercueil
Merci d'être passé
Je suis tombé sur ce forum il y a peu.
J'y ai lu quelques histoires dont une, celle de Emorej bien sordide, qui m'a bien foutu en PLS. Et qui m'a fait relativiser surtout que l’histoire que je vais raconter n'est pas aussi trash...
J'ai 25 piges. J'ai fait d'assez grosses études et je bosse dans un secteur assez prolifique. Au vu de mon passé, abandonné par ma mère alors que je portais encore des couches, garçon rejeté des autres garçons, des filles, et pas le préféré de la fratrie, j'estime avoir fait un exploit. Mais passons, passons au gratin. J'ai beaucoup d'ordures autour de moi, vous savez ce genre de pantins qui vous balancent des grands sourirent à s'en déchirer les zygomas et qui à la première occasion vous la range tout au fond à grands coup de lance-roquette. J'ai très peu de véritables amis, on pourrait les compter sur les doigts de la main....d'un Simpson
Ayant placé mes études, puis le boulot ainsi que le sport au dessus de tout depuis 3 ans, j'ai finit pas m'afficher quand même avec une demoiselle début de cette année...le feeling passe bien.
Je m'implique dans cette relation, je me sens même con à sourire pour des petites choses insignifiantes : un regard, un timbre de voix, un geste, un bisou... Je me sens fier de la voir sourire. Niveau pieu rien à dire, j'ai même droits à des beaux compliments.
Il y a trois semaines, on s'est retrouvés avec des groupes d'amis lors d'une fête chez un de mes bien rares amis. Elle y rencontrera un gars. Je n'y prête pas attention sur le moment. Je passe la soirée avec quelques autres hommes et femmes histoire de faire connaissance tout simplement, imprimer des prénom sur ces nouvelles gueules, glisser un compliment ou deux gratoche quand la fille est jolie mais sans aucune arrière pensée.
La semaine suivante, rebelote, une fiesta chez un de ses amis à elle. Mon ami de confiance y sera, pas moi, je serais pris par le taff. Le lendemain il m’appelle tout paniqué et me dit que ma demoiselle avait fait la con avec le fameux gars qu'elle a rencontré la semaine dernière. Je ne l'ai pas cru jusqu'à ce qu'il me montre une photo qu'il avait pris discretos des deux protagonistes en train de s'embrasser bien comme il fallait façon ramonage de cheminée. Et les choses ne se sont pas arrêtées là. Ca a fini au pieu pour une partie de scrable. BAISEEE 7 lettres pan dedans
Ni une ni deux, je l’appelle en lui disant que c'était fini. Super, la voilà qui vient me chialer sur les baskets en faisant sa chouineuse que je m'en serai bien passé. Pourtant je lui ai dit : tu préfères un autre gars, vas-y je te retiendrai pas t'as fait ton choix.
Je coupe tout : facebook, tweeter, sms téléphone disparaissent en deux deux. Je me renferme, je ne sors plus, un seul cap le taff et le sport. Mon ami de confiance me relate ces scènes où mademoiselle chiale tout ce qu'elle peut qu'elle regrette et je sais pas quelles autres conneries
J'en viens à mon problème : je ne ressens que dalle, ni haine ni jalousie, ni rien du tout, et le fait que c'était ma première copine depuis des lustres ne m'affecte pas plus que ça.
Et voilà ca repart...
Tout n'est pas blanc, tout n'est pas noir
Seulement d'un gris à dégueuler
Je ne ressens rien si ce n'est qu'une profonde lassitude
Je n'ai que 25 ans mais j'ai l'impression d'en avoir 50
J'ai l'impression que ça va être comme ça, des arrangements des compromis à la con jusqu'au cercueil
Merci d'être passé