SOS cocu

Sans Prétention a écrit : ↑mar. 5 sept. 2017 16:34

franck57 a écrit : ↑mar. 5 sept. 2017 16:32

Sans Prétention a écrit : ↑mar. 5 sept. 2017 16:30 J'ai pas encore viré libertin !

Je ne pense pas que cela soit nécessaire a la pertinence de tes interventions ;) ni a ton équilibre personnel non plus d’ailleurs

Pour info :
viewtopic.php?f=21&t=3361&p=55206&hilit=club#p55206

viewtopic.php?f=21&t=3361&hilit=club&start=150#p55101

ah oui, ok.... j'avais manqué ce point la de ton histoire ;), mais c'est intéressant...

j'ai trouvé un témoignage sur le net qui reflète exactement ce que je ressens :

je sais que je l'aime....mais je ne sais plus de quelle manière...je ressens comme une barrière dans ma poitrine, comme si elle empêchait cette amour de se déployer, de s'étendre dans tout mon être,
 
avant son infidélité, je l'aimer naturellement,s'était plus que clair pour moi, il était l'amour de ma vie, j'étais prête a tout pour lui, j'en étais fière, je l'avais mis sur un piédestal(un peu trop haut peut être),
 
maintenant, je sais qu'il m'a fait du mal, que j'en souffre toujours, cette amour que j'aimais tant m'a écorchée vive....
 

jess85 a écrit : ↑ven. 15 sept. 2017 11:10 ...
je sais que je l'aime....mais je ne sais plus de quelle manière...je ressens comme une barrière dans ma poitrine, comme si elle empêchait cette amour de se déployer, de s'étendre dans tout mon être,
 
avant son infidélité, je l'aimer naturellement,s'était plus que clair pour moi, il était l'amour de ma vie, j'étais prête a tout pour lui, j'en étais fière, je l'avais mis sur un piédestal(un peu trop haut peut être),
 
maintenant, je sais qu'il m'a fait du mal, que j'en souffre toujours, cette amour que j'aimais tant m'a écorchée vive....
 

Alors la je dit bravo... Tu viens de réussir a mettre des mots sur un truc que je ressent depuis 4 mois sans pouvoir le nommer....

ce n'est pas de moi ...
mais je ressens la même chose

Voilà Brassens a très bien résumé ce qui va se passer puisque je suis dans le même état d'esprit que lui... au mot près, c'est presque flippant.

Bon courage