Et un encore...
Modérateur : Sans Prétention
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Auteur du sujet - Cornes d'Or
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Re: Et un encore...
Il faut avouer que mon ex belle mère est une sorte de curiosité, visiblement et mentalement, un être qui n'était pas fait pour arriver sur terre, ni même autre part. Une sorte de chainon manquant, ou plutôt le chainon de trop. On a l'impression qu'elle a emprunté son corps pour la semaine sans en avoir lu le mode d'emploi, parler avec elle est un tour de force tant les idées qui se télescopent dans la boite qui lui sert de crâne sont en désordre.
Je me suis toujours dit que celui qui avait fabriqué mon ex avec elle devait être bourré ou sortir de taule, d'ailleurs, en émergeant, il a vite disparu de la circulation pour ne plus jamais réapparaitre. Il faut sans doute des ressources insoupçonnées dans le sous sol pour se farcir ce monticule d’âneries.
C'était donc quitte ou double avec la rejetone...
Ce fut quitte.
Je me suis toujours dit que celui qui avait fabriqué mon ex avec elle devait être bourré ou sortir de taule, d'ailleurs, en émergeant, il a vite disparu de la circulation pour ne plus jamais réapparaitre. Il faut sans doute des ressources insoupçonnées dans le sous sol pour se farcir ce monticule d’âneries.
C'était donc quitte ou double avec la rejetone...
Ce fut quitte.
Les 200 chevaux parqués sous le capot sont bien moins dangereux que l'âne derrière le volant.
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- Cornes d'Or
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Re: Et un encore...
Tu dis ça parce que tu es en colère!
Elle semble en effet être très particulière vu ce que tu nous en dis.
J'ai ressenti dans tes écrits depuis l'origine que tu n'étais pas un être foncièrement péjoratif ni méchant, au contraire. Alors si tu en parles ainsi, elle doit être vraiment piquée l'ex belle-doche.
A sa décharge et à la tienne, elle n'a pas dû faire un clone de sa fille, tout du moins physiquement, sinon tu n'aurais pas épousaillé sa progéniture.
Quant à son contenu et ses malfaçons, sans parler des oublis de connexion, elles semblent sortir du même moule mais ça, ça n'est pas flagrant au premier regard.
As-tu pensé à retirer leur portrait de ta table de nuit?
Elle semble en effet être très particulière vu ce que tu nous en dis.
J'ai ressenti dans tes écrits depuis l'origine que tu n'étais pas un être foncièrement péjoratif ni méchant, au contraire. Alors si tu en parles ainsi, elle doit être vraiment piquée l'ex belle-doche.
A sa décharge et à la tienne, elle n'a pas dû faire un clone de sa fille, tout du moins physiquement, sinon tu n'aurais pas épousaillé sa progéniture.
Quant à son contenu et ses malfaçons, sans parler des oublis de connexion, elles semblent sortir du même moule mais ça, ça n'est pas flagrant au premier regard.
As-tu pensé à retirer leur portrait de ta table de nuit?
Le rire c'est une poussière de joie qui fait éternuer le coeur.
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Auteur du sujet - Cornes d'Or
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Re: Et un encore...
Pour les portraits, je te rassure : ni l'un ni l'autre n'ont atterrit sur la table de nuit ou autre part. Et effectivement, sa fille ne lui ressemble pas trop physiquement, sa propre mère devait penser à Rodin en la fabriquant...
Pour te situer l'animal, ma seconde fille est revenu de chez sa grand mère avec des cadeaux : des serpillères et des chiffons à ménage. " Faut pas chercher à comprendre, c'est Mamie, que veux tu ! " devant mon air interloqué. Ceci restant une goutte d'eau plutôt comique, mais certains cas de figure sont beaucoup plus attristant, comme cette habitude qu'elle a développé avec sa fille de mettre les gens dehors après avoir pété tout le tableau électrique, ou d'inventer un tas d'histoires familiales et financière ( bien entendu ! ) qui, si elles ne faisaient pleurer, prêtent à sourire.
Pour te situer l'animal, ma seconde fille est revenu de chez sa grand mère avec des cadeaux : des serpillères et des chiffons à ménage. " Faut pas chercher à comprendre, c'est Mamie, que veux tu ! " devant mon air interloqué. Ceci restant une goutte d'eau plutôt comique, mais certains cas de figure sont beaucoup plus attristant, comme cette habitude qu'elle a développé avec sa fille de mettre les gens dehors après avoir pété tout le tableau électrique, ou d'inventer un tas d'histoires familiales et financière ( bien entendu ! ) qui, si elles ne faisaient pleurer, prêtent à sourire.
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- Cornes d'Or
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Re: Et un encore...
Comique la mamie dans l'art et la manière de faire passer des messages acides.
Elle aurait mieux fait de se les garder ses cadeaux pourris pour faire d'abord le ménage devant chez elle.
Quant au pétage du tableau électrique, il existe des fusibles pour y palier mais les siens semblent has-been ainsi que le disjoncteur.
Vu son grand âge canonique et supposant que sa date de naissance figure dans les grottes de Lascaux, elle a dû copuler avec l'homme de Cro Magnon ou un animal sauvage au fond d'une grotte non éclairée.
Tristesse, comme si les conjoints véreux ne suffisaient pas, faut-il encore se peler leurs aïeux.
Elle aurait mieux fait de se les garder ses cadeaux pourris pour faire d'abord le ménage devant chez elle.
Quant au pétage du tableau électrique, il existe des fusibles pour y palier mais les siens semblent has-been ainsi que le disjoncteur.
Vu son grand âge canonique et supposant que sa date de naissance figure dans les grottes de Lascaux, elle a dû copuler avec l'homme de Cro Magnon ou un animal sauvage au fond d'une grotte non éclairée.
Tristesse, comme si les conjoints véreux ne suffisaient pas, faut-il encore se peler leurs aïeux.
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Re: Et un encore...
Ton histoire me fait sourire, enfin sourire, autant qu'une histoire de merde fait sourire 2 cocus, tu as bien plus la tete sur les épaules que moi Jag.
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Auteur du sujet - Cornes d'Or
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Re: Et un encore...
@ Cedko : peut être, peut être pas... Les réactions que nous avons suite à la découverte sont variables. Mais au final, ce ne fût guère une surprise, juste une confirmation de ce que je ressentais sans en avoir les preuves.
La tête sur les épaules, on la gagne lorsqu'il faut retrouver son équilibre et apprendre à vivre solo. La décision est prise, il ne faut pas se planter lorsque la partie adverse monte au créneau.
Et la vie continue... bien plus belle, bien plus légère.
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Re: Et un encore...
A ma connaissance, aucun de nos comparses n'a regretté un jour d'avoir mis un terme au contrat, bien au contraire.jaguarboy a écrit :La décision est prise, il ne faut pas se planter lorsque la partie adverse monte au créneau.
On ne peut pas se planter continuellement dans ses choix: conjoint(e), convolage et divorce.
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Re: Et un encore...
Et ce n'est pas nous qui dirons le contraire !
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Re: Et un encore...
Difficile d'expliquer le bien-être retrouvé lorsque ces oiseaux de malheur ont disparu de notre champ de vision. Ca se vit et bien même, rien que par l'absence.
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Re: Et un encore...
Il est vrai qu'on a du mal a expliquer ça, c'est étonnant de ne pouvoir formuler ce sentiment de manière claire. Était ce parce que nous avions décroché la timbale sans le savoir, timbale devenue boulet... Mais pour ma part, lorsque je me trouvais dans le cyclone, je ne voyais pas comment m'en sortir, la seule issue semblait un raccommodage de fortune.
Je pense qu'il y a eu un jour ou je me suis dit que trop, c'est trop, que l'accumulation de foutage de gu..., les mensonges... allaient trop loin, que je ne pouvais pas aller plus continuer avec elle. Je crois qu'il m'a fallut quelques mois pour me faire à l'idée que c'était mort. Je n'ai pas voulu voir pendant des années, pas voulu croire pendant des mois.
Bien plus pratique pour avancer lorsqu'on ne traine plus un boulet aux pieds.
Je pense qu'il y a eu un jour ou je me suis dit que trop, c'est trop, que l'accumulation de foutage de gu..., les mensonges... allaient trop loin, que je ne pouvais pas aller plus continuer avec elle. Je crois qu'il m'a fallut quelques mois pour me faire à l'idée que c'était mort. Je n'ai pas voulu voir pendant des années, pas voulu croire pendant des mois.
Bien plus pratique pour avancer lorsqu'on ne traine plus un boulet aux pieds.
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Re: Et un encore...
Tu as raison Jaguar dans ton développé sur l'endurance, je l'ai aussi vécu de la sorte.
J'entendais ce que l'on me préconisait sans pouvoir réagir. J'enviais les cas similaires qui avaient déjà mis les voiles mais j'avais l'impression d'être retenue par un fil à la patte. J'en étais même parvenue à me résigner et à me dire qu'heureuse, je le serai dans une prochaine vie.
La situation était dégradée à son paroxysme. L'impulsion de départ s'est manifestée sans crier gare, me prenant presque de court.
Le soulagement a été quasi instantané et je n'ai jamais regretté.
Avec du recul, je le vois mieux dans toute sa splendeur et il est bien pire que ce que j'imaginais.
Ravie d'en être débarrassée.
J'entendais ce que l'on me préconisait sans pouvoir réagir. J'enviais les cas similaires qui avaient déjà mis les voiles mais j'avais l'impression d'être retenue par un fil à la patte. J'en étais même parvenue à me résigner et à me dire qu'heureuse, je le serai dans une prochaine vie.
La situation était dégradée à son paroxysme. L'impulsion de départ s'est manifestée sans crier gare, me prenant presque de court.
Le soulagement a été quasi instantané et je n'ai jamais regretté.
Avec du recul, je le vois mieux dans toute sa splendeur et il est bien pire que ce que j'imaginais.
Ravie d'en être débarrassée.
Le rire c'est une poussière de joie qui fait éternuer le coeur.
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Auteur du sujet - Cornes d'Or
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Re: Et un encore...
Comme dans tous les romans de hall de gare, le développement et la fin restent flous. Une suite ? Quand il n'y en a plus, il y en a encore...
J'entends par là qu'après 18 mois de silence radio total, qui qui voila ? Hmmm ? Meuhh oui ! L'ex reparait soudainement, trainant derrière elle une cohorte de bizarreries et d'explications servies à mes filles pour expliquer l'inexplicable et surtout, surtout, faire chialer dans les chaumières. Je ne connais pas la teneur du bateau qui est sorti du port, mais je me doute que ça doit avoir le gabarit d'un porte avions.
Lorsqu'on reprend proprement les évènements, on trouve pèle mêle une secte, un partenaire pervers manipulateur qui est plein aux as sans bosser, puis il devient mourant, puis c'est un emmerdeur... Ceci pour faire succinct. Vous suivez toujours ? Oui, je connais la réponse : " Bien sûr, où voulez vous que j'aille ! "
Plus sérieusement, après une assez longue période de déprimes suite à ces révélations portées par le vent, nous avions trouvés un équilibre à trois. Surtout moi : je n'avais pas une sempiternelle pression sur la présence ou non de jus d'orange au frigo ou sur la marque des chaussures des filles !
La réapparition digne du nouveau testament remet du bazar là où il n'y en avait plus trop. Soudainement, le discours des filles change, on sent que la manipulation se situe non loin, et que soudainement, la personne qui les a flanquées au fond du trou apparait comme une pauvre créature qui a beaucoup souffert... Bien sûr, c'est plus vendeur.
Je ne suis pas contre le fait que mes filles revoient leur mère. Il est a mon sens essentiel que les enfants, même majeurs, voient les deux parents. Mais là, je ne suis pas certain que ce soit bénéfique. Ce matin, ma seconde me dit avoir fait des insomnies, comme fin 2012 !
Là où ça me défrise, c'est lorsque le discours sur l'adultère se mâtine de " Faut pardonner, ça fait cinq ans " ou " avances et n'y penses plus ". Certes, je n'y pense plus au quotidien, mais le nom et prénom de mon ex restent à jamais associés à cet acte ô combien infâme, à des souffrances psychologiques intenses. Et lorsqu'on me sert " il faudrait que tu développes des rapports normaux avec maman ", je ne peux que penser à la torpille envoyée par téléphone ou autre pour tenter une espèce de retour en grâce...
Ne jamais lâcher sa proie.
Bref, pas sorti de la mouise...
Je me demande si je n'ai pas été beaucoup trop gentil : voici peu, je me suis visionné un film " intolérable cruauté ", film traitant de l'adultère dans les hautes sphères de la société américaine. Lorsque le mari volage se fait prendre la main dans le sac, la sculpturale Catherine Zeta Jones dit en privé à George Clooney, avocat de la partie adverse en parlant du dit mari : " Je veux la peau de ses fesses pour les encadrer et que les copines viennent à la maison pour jouer au fléchettes dessus." J'aurais dû prendre tout de suite cette option, au lieu de la jouer cool.
J'entends par là qu'après 18 mois de silence radio total, qui qui voila ? Hmmm ? Meuhh oui ! L'ex reparait soudainement, trainant derrière elle une cohorte de bizarreries et d'explications servies à mes filles pour expliquer l'inexplicable et surtout, surtout, faire chialer dans les chaumières. Je ne connais pas la teneur du bateau qui est sorti du port, mais je me doute que ça doit avoir le gabarit d'un porte avions.
Lorsqu'on reprend proprement les évènements, on trouve pèle mêle une secte, un partenaire pervers manipulateur qui est plein aux as sans bosser, puis il devient mourant, puis c'est un emmerdeur... Ceci pour faire succinct. Vous suivez toujours ? Oui, je connais la réponse : " Bien sûr, où voulez vous que j'aille ! "
Plus sérieusement, après une assez longue période de déprimes suite à ces révélations portées par le vent, nous avions trouvés un équilibre à trois. Surtout moi : je n'avais pas une sempiternelle pression sur la présence ou non de jus d'orange au frigo ou sur la marque des chaussures des filles !
La réapparition digne du nouveau testament remet du bazar là où il n'y en avait plus trop. Soudainement, le discours des filles change, on sent que la manipulation se situe non loin, et que soudainement, la personne qui les a flanquées au fond du trou apparait comme une pauvre créature qui a beaucoup souffert... Bien sûr, c'est plus vendeur.
Je ne suis pas contre le fait que mes filles revoient leur mère. Il est a mon sens essentiel que les enfants, même majeurs, voient les deux parents. Mais là, je ne suis pas certain que ce soit bénéfique. Ce matin, ma seconde me dit avoir fait des insomnies, comme fin 2012 !
Là où ça me défrise, c'est lorsque le discours sur l'adultère se mâtine de " Faut pardonner, ça fait cinq ans " ou " avances et n'y penses plus ". Certes, je n'y pense plus au quotidien, mais le nom et prénom de mon ex restent à jamais associés à cet acte ô combien infâme, à des souffrances psychologiques intenses. Et lorsqu'on me sert " il faudrait que tu développes des rapports normaux avec maman ", je ne peux que penser à la torpille envoyée par téléphone ou autre pour tenter une espèce de retour en grâce...
Ne jamais lâcher sa proie.
Bref, pas sorti de la mouise...
Je me demande si je n'ai pas été beaucoup trop gentil : voici peu, je me suis visionné un film " intolérable cruauté ", film traitant de l'adultère dans les hautes sphères de la société américaine. Lorsque le mari volage se fait prendre la main dans le sac, la sculpturale Catherine Zeta Jones dit en privé à George Clooney, avocat de la partie adverse en parlant du dit mari : " Je veux la peau de ses fesses pour les encadrer et que les copines viennent à la maison pour jouer au fléchettes dessus." J'aurais dû prendre tout de suite cette option, au lieu de la jouer cool.
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Re: Et un encore...
Le plus gros problème dans l'après divorce est le fait d'avoir eu en commun des enfants..
C'est un lien qu'on ne peut rompre.
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Faire confiance est une preuve de courage, être fidèle est un signe de force
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- Cornes d'Or
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Re: Et un encore...
Et ils en jouent ces MPN! C'est ignoble d'agir ainsi sur les enfants.Nas a écrit :Le plus gros problème dans l'après divorce est le fait d'avoir eu en commun des enfants..
C'est un lien qu'on ne peut rompre.
@Jaguar, ton ex est vraiment championne dans la catégorie des MPN, ses techniques font leurs preuves d'efficacité.
On se demande quels ont été les mots ou le ton employés pour parvenir à être si convaincante après une si longue absence. A t-elle décalqué sur son gourou?
Mais la vigilance, encore d'actualité.
Tu n'en étais pas à la dernière phase du partage des biens avec intervention d'un huissier? Ceci explique sûrement cela.
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Auteur du sujet - Cornes d'Or
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Re: Et un encore...
Effectivement, j'ajoute une nouvelle variable à ma vie, et celle ci promet d'être corsée.
Son absence fût une bénédiction pour moi. Mais ce fût une bénédiction périssable... Retour à la case départ sur le sujet.
Son absence fût une bénédiction pour moi. Mais ce fût une bénédiction périssable... Retour à la case départ sur le sujet.
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