Je te souhaite sincèrement qu'il n'y ait pas une bombe à retardement dont la partie explosive n'aurait pas été enlevée sous le matelas de lauriers.
J'ai peu-être loupé une partie, mais as-t-elle fait un travail sur elle pour résoudre SON problème?

Modérateur : Sans Prétention
Cette partie là est en effet souvent négligée. A la lecture des témoignages ici, il s'avère qu'elle est pourtant essentielle...Dom3 a écrit : J'ai peu-être loupé une partie, mais as-t-elle fait un travail sur elle pour résoudre SON problème?
Et le fils de cocue que je suis rajoute : et tu n'imagines pas à quel point l'enfant se souvient.venum a écrit : Je lui ai dit que j'en avais ras le bol qu'elle se justifie sur le fait que passer les dates importantes avec ses enfants passent avant ses "loisirs".
De plus, je lui ai dit que ses "potes", j'en avait rien à faire, je ne vis pas avec eux, mais avec elle et NOS enfants.
Sur ce, j'ai rajouté que si ça la fait chier de rester avec nous lors de la fête des mères, qu'elle se casse se jour là. Les enfants grandiront et se souviendrons de ses absences lors des dates importantes pour eux.
Ricochette a écrit :Pour ma part, c'est le sport qui a fait le plus gros du travail. Mon corps a réclamé, je l'ai écouté et c'est surtout l'esprit qui a bénéficié des bienfaits.
Je continue bien entendu mais juste pour le plaisir.
Je me situe globalement dans la même optique que toi. Je voudrais aussi rajouter qu'il est étrange de constater que le "cocu" est un général celui qui fait "vivre" la famille. Pas par l'argent, ni par le domestique (et pour toi, c'est ton cas) mais par cette volonté de créer une famille. Le cocufieur, vit cela comme une expérience comme une autre. Et peut non pas détester ou ne plus aimer, mais se détacher de ses enfants, de son partenaire, comme un ado qui se cherche encore. C'est étrange...venum a écrit : Les cocufieurs n'ont aucun respect non seulement vis à vis de leur conjoint, mais également de leurs enfants (quand il y en a). (...) Quand je vois l'impact que cela a, j'ai envie de dire que les cocufieurs sont plus qu'égoïste. J'ai vu ce que cela faisait d'avoir une déception suite à tromperie, j'ai vu et (étant altruiste ) ai vécu ce que vivent les enfants. A partir du moment où vous avez des enfants, il faut grandir et arrêter de penser avec ses organes génitaux. (...) Si vous êtes en couple, sans enfants, il est assez simple de vous barrer si tromperie, et je vous le dit, faites le... Par contre, si enfant(s), préparez vos enfant avant rupture.
Effectivement, ce qu'on ne voit pas de prime abord, c'est la responsabilité que l'on fait porter sur les frêles épaules de ces petits êtres en construction. Attention au pièjacon : on ne reste pas à cause d'eux, ni pour eux mais grâce à eux. La nuance est extrêmement importante parce que sinon un jour, en 2026, un SP numéro 2 dira "bonjour, bienvenue sur le blog passif familial de ton cocufieur ?" ou ce sera le cocufieur. J'ai pas de boule de cristal mais les parents de SOS cocus sont les enfants d'un SOS cocu qui n'existait pas encore.Gary77 a écrit :Les enfants sont à prendre en considération, encore plus lorsqu une séparation s envisage.
Ils nous donnent le supplément de force nécessaire pour reconstruire le couple et sauver la famille.
Cependant, il ne faut pas que celà se transforme en piège.
Ne pas rester QUE pour eux.
Deuxième point.Gary77 a écrit :Car si je trouve noble de faire passer leur bonheur avant le notre, d accepter de souffrir le temps de la reconstruction pour privilegier leur avenir familial, il ne faut pas non plus se cacher derrière eux pour masquer notre lâcheté, notre incapacité à quitter le conjoint car on serait perdu sans lui.
Il y a toujours plusieurs scénarios même s'ils ne sont pas infinis.Gary77 a écrit :Des enfants heureux malgré la separation, ca existe, du moment qu ils ne se sentent pas abandonnés par un des parents.
Au final, on RESTE pour rester et le tableau n'est pas beau à voir. On vise à épargner les enfants mais on peut s'embourber dans un schéma limitant.Gary77 a écrit :Quand je parlais de piege, je pensais notamment à un intervenant ici dont j ai lu le sujet il y a qudlques mois.
Il disait etre rester pour ses enfants mais qu il n éprouvait plus rien pour sa femme et qu il attendait que ses enfants soient majeurs pour la quitter. En attendant, il n éprouvait plus de plaisirs dans sa vie. Et ça, c est triste